Un voyageur anonyme a pris place à bord d’un train pour un interminable voyage à travers les steppes kazakhes. Le train s’arrête dans une toute petite gare et un garçon monte à bord pour vendre des boulettes de lait caillé. Il joue Brahms au violon de manière prodigieuse, sortant les passagers de leur torpeur. Le voyageur découvre que celui qu’il avait pris pour un enfant est en fait un homme de vingt-sept ans. L’histoire de Yerzhan peut alors commencer…
À travers ce conte envoûtant, l’auteur nous livre une parabole glaçante sur la folie destructrice des hommes et la résistance acharnée d’un jeune garçon qui voulait croire en ses rêves.
L’histoire se passe en Ouzbékistan, un conte que j’ai lu en deux coups de cuillère à pot comme on pouvait dire « dans le temps », comme dit dans le résumé l’homme est encore une fois le principal responsable. C’est un livre que j’ai choisi comme cela sur un coup de coeur et au fond de moi je voulais sans doute savoir où se trouvait ce lac.
Je viens de terminer un autre livre « glaçant »: l’autobiographie de Jacques Mesrine…
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J’ai lu mon blog… Qu’est-ce qu’il y a comme fautes…
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Fautes d’inattention sans doute.
A pluche.
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D’où la nécessité de lire… Mon blog, ça me suffit… 🙂
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Nous habitions à la porte de St Ouen quand Mesrine s’est fait abattre dans la rue.
A pluche.
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Et moi je viens de finir Le grand marin de Catherine Poulain. Une femme qui rêve de partir en Alaska; Après un long voyage, elle arrive à Kodiak et part pêcher en mer.
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Alors cette petite ballade en mer t’a bien plu ?
A pluche.
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pour le lire si vite il comportait moins de 10 pages !
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Moins de 130 pages.
A pluche.
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