Dans le Paris haussmannien, Achille Bonnefond, spécialiste des affaires criminelles, mène une enquête périlleuse autour des milieux spirites. De quoi perdre la raison pour le brillant détective…
Le suicide de la comédienne Mimi Pattes-Maigres qui, finalement, n’en serait pas un, l’étrange message dans la doublure de sa robe, le cadavre mutilé d’un précieux informateur retrouvé dans une église… Rien qui puisse impressionner Achille Bonnefond considéré, à juste titre, comme le meilleur spécialiste des affaires criminelles de la capitale. Mais, pour les besoins de son enquête, le détective va devoir s’initier auprès d’Allan Kardec au secret des pratiques spirites très en vogue dans les beaux quartiers du Paris haussmannien.
Un jeu dangereux qui pourrait lui être fatal s’il commet la moindre imprudence car, parfois redoutables… les esprits veillent !
Je viens de le finir ce livre policier. Une belle enquête de Achille Bonnefond qui se retrouve cette fois dans une aventure avec une société d’occultisme qui plume les gens et surtout fait commerce avec le diable. Mais il y a les bons et les mauvais heureusement malgré les funestes présages qu’annoncent le diable nos héros ont encore une belle vie et de belles aventures à vivre.
Outre l’intrigue criminelle passionnante, c’est encore et toujours une belle reconstitution de la capitale sous le Second Empire que nous présente Frédérique Volot. Son récit brille par sa documentation particulièrement fouillée. Mais si la vraisemblance des propos mis dans la bouche de ses personnages n’est pas à prouver, c’est surtout l’ambiance, que l’auteure a su insuffler à son récit, qui fait tout le sel de 59, passage Sainte-Anne ! Car en habituée des romans historiques, Frédérique Volot a su se renouveler et revisiter habilement le genre pour mieux captiver ses lecteurs.
Sources: ICI
Il faut que je note ce livre qui devrait me plaire…Me balader dans le vieux Paris… 🙂
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Le Paris des années 1800 qui a changé depuis 😀
A pluche.
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Je sens que la médiathèque de Sancergues est plus riche que celle de Vinon! Ceci dit, au rythme où tu avales les bouquins, tu les auras tous lus avant la fin de la décennie!
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Il y a « la navette » avec la bibliothèque de Bourges qui permet de demander certains livres que Sancergues ne dispose pas. C’est vrai que depuis que j’ai un peu plus de temps libre je lis un peu plus.
A pluche.
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Sainte Anne ? C’est l’hosto pour les dingos ! Ce qu’il faudrait pour Macron !
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En 1850 on comptait à Paris environ 150 passages couverts comme le passage Sainte Anne et maintenant je crois qu’il en reste moins de 25, mais il me semble qu’aucun ne soit en lien avec le fameux hôpital dont tu fais référence.
A pluche.
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