On peut lire en quatrième de couverture:
Dans le Causse noir, Céline, séduisante avocate parisienne, doit renouer avec ses racines pour retrouver son père disparu.
Un roman ténébreux et tendu, écrit à l’encre noire.
Un roman ténébreux et tendu, écrit à l’encre noire.
Une région mystérieuse, le Causse noir.
Une ville, Millau, celle des souvenirs pour Céline, avocate parisienne, contrainte de renouer avec ses racines pour retrouver son père Pierre, porté disparu. Des découvertes compromettantes et des retrouvailles, pour le moins tendues, avec sa famille.
Enfin, une histoire d’amour au goût d’inachevé entre Céline et David, l’ex, un flic venu de la capitale pour résoudre l’affaire et réveiller celles, classées, de trois autres disparues.
Entre tous ces personnages, dont les masques peu à peu tombent, une vérité aux multiples visages. Derrière les murs épais des bergeries, des secrets prêts à éclater.
Et, en filigrane, la question qui obsède Céline : qui est réellement Pierre ?
Une ville, Millau, celle des souvenirs pour Céline, avocate parisienne, contrainte de renouer avec ses racines pour retrouver son père Pierre, porté disparu. Des découvertes compromettantes et des retrouvailles, pour le moins tendues, avec sa famille.
Enfin, une histoire d’amour au goût d’inachevé entre Céline et David, l’ex, un flic venu de la capitale pour résoudre l’affaire et réveiller celles, classées, de trois autres disparues.
Entre tous ces personnages, dont les masques peu à peu tombent, une vérité aux multiples visages. Derrière les murs épais des bergeries, des secrets prêts à éclater.
Et, en filigrane, la question qui obsède Céline : qui est réellement Pierre ?
Un roman ténébreux et tendu, écrit à l’encre noire.

Sympathique ce polar du terroir, pas révolutionnaire, mais agréable. Construction assez classique à plusieurs personnages, des rancœurs familiales, des haines, des jalousies, tous les ingrédients sont présents pour écrire un bon roman à suspense.
L’intrigue ne fait pas tomber par terre, mais elle est habilement menée pour tenir jusqu’au bout avec l’envie de connaître son dénouement.
J’ai remarqué que souvent, après un suspense haletant, on est déçu par le dénouement finalement assez pauvre de nombre de « polars ». Connaissant bien la région de Millau, celui-là pourrait me plaire; à retenir. Si tu veux un polar saignant et où tu n’auras pas le loisir de faire de pause, je te conseille « La Forêt des Mânes » de J-Christophe Grangé, que je viens de terminer…
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Je ne suis pas trop « polars saignant » et je ne suis pas certain que Grangé me plairait, je vais me rabattre sur Ellis Peter et les aventures de Cadfael.
A pluche.
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Il dansait bien, moins que Noureev, Jacques… Chazeau…
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C’est possible, faudrait lui demander.

A pluche.
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Il a des jambes pour écrire… pas pour danser…
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Ne faut-il pas être un peu maso pour lire se genre de chose ?
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Non, je ne pense pas, contrairement à quelques titres « épais » que j’ai pu voir passer.
A pluche.
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