Encore un livre, direction la Corse.
On peut lire en quatrième de couverture:
Eté 1989
La Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne.
Une route en corniche, un ravin de vingt mètres, une voiture qui roule trop vite… et bascule dans le vide.
Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux.
Eté 2016
Clotilde revient pour la première fois sur les lieux de l’accident, avec son mari et sa fille ado, en vacances, pour exorciser le passé.
A l’endroit même où elle a passé son dernier été avec ses parents, elle reçoit une lettre.
Une lettre signée de sa mère.
Vivante ?
« Le temps est assassin, c’est l’idée du temps qui passe – des rêves quand on est adolescent, des regrets quand on a quarante ans, de l’espoir de tout ce qui reste à vivre… En mêlant le passé et le présent, on obtient un même personnage qui porte deux regards différents sur la vie. » Michel Bussi.
En plus d’être un polar à retournements diablement efficaces, Le temps est assassin est une réflexion sur le rôle des femmes. Dépeintes ici sur trois générations, on découvre un portrait sensible de la bonté des femmes qui tentent d’endiguer la rage masculine. Baigné dans le climat aride corse, ce roman policier se dévore d’une traite jusqu’à un final bouleversant.
J’ai bien aimé me promener dans ce maquis Corse, ce camping et sur ces petites routes tortueuses, c’est un bon roman qui me donne envie de lire ses autres ouvrages.
Vous aimez les polars, vous aimez la Corse alors vous devriez apprécier « le temps est assassin » de Michel Bussi.
J’ai beaucoup apprécié l’intrigue et le cadre!
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Le cadre de la Corse en toile de fond dans ce roman, on arrive parfois à sentir l’odeur du maquis et les branches.
A pluche.
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Oui tout à fait! Quand les sens sont pris, je suis conquise!
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En te promenant dans ce maquis corse, as-tu senti l’odeur de cette garrigue, de cette forêt ? et as-tu entendu ces cigales, ces grillons ? As-tu vu ces vautours et ces aigles planer dans le ciel bleu ???
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Cela m’a rappelé les vaches sur les plages de Corse il y a quelques années, et les sentiers au milieu de la garrigue pour rejoindre certaines petites plages un peu plus calmes.
A pluche.
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Tu sais que Napoléon n’attachait jamais son cheval à un arbre… Il avait peur qu’il mange l’écorce… 🙂
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J’ai particulièrement apprécié votre commentaire sur « le temps est assassin ».
Une réflexion qui donne envie non seulement de le lire mais de connaître
encore mieux la Corse.
Torriep
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J’ai eu l’occasion de visiter quelques fois la Corse et à chaque fois j’ai apprécié.
C’est avec plaisir que j’ouvrirais un nouveau roman de cet écrivain Normand.
A pluche.
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