Nous voila revenu sur le Causse, au cœur de la France profonde et rurale.
Une femme a disparu. Sa voiture est retrouvée au départ d’un sentier de randonnée qui fait l’ascension vers le plateau où survivent quelques fermes habitées par des hommes seuls. Alors que les gendarmes n’ont aucune piste et que l’hiver impose sa loi, plusieurs personnes se savent pourtant liées à cette disparition. Tour à tour, elles prennent la parole et chacune a son secret, presque aussi précieux que sa propre vie. Et si le chemin qui mène à la vérité manque autant d’oxygène que les hauteurs du ciel qui ici écrase les vivants, c’est que cette histoire a commencé loin, bien loin de cette montagne sauvage où l’on est séparé de tout, sur un autre continent où les désirs d’ici battent la chamade.
Avec ce roman choral, Colin Niel orchestre un récit saisissant dans une campagne où le monde n’arrive que par rêves interposés. Sur le causse, cette immense île plate où tiennent quelques naufragés, il y a bien des endroits où dissimuler une femme, vivante ou morte, et plus d’une misère dans le cœur des hommes.
Lorsque j’ai ouvert ce roman, j’étais loin de savoir jusqu’où l’histoire allait m’emporter, j’ai bien aimé ce livre où l’on parle du mal-être des paysans, de leurs conditions de vie dans ce monde rural et puis on comprend aux fils des pages qu’un petit mensonge peut avoir de sérieuses répercutions, je ne vous en dis pas plus et je vous conseille de le lire.
Tu vas bientôt me convaincre d’adhérer à la médiathèque de Sancergues…
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Personnellement j’ai bien aimé, ma femme un peu moins, là je viens de finir un livre de Pierre Assouline, j’ai moins apprécié.
Les inscriptions sont toujours ouvertes, les horaires d’ouverture ont changés.
lundi 16/18h
mercredi 10/12h et 15/18h
vendredi 14/18h
samedi 9/12h et 15/17h
A pluche.
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Pour moi qui est lu ce livre je m’y suis ennuyée à un moment j’ai eu hâte d’en finir… C’est vrai que ce « policier » est vraiment différent de n’importe quel autre! Cinq personnes qui parlent de leur solitude si moderne!
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Avec ce livre on est quand même pas très loin du monde réel, avec les difficultés du monde paysan et rural, et puis cette solitude qui frappe à la porte sur le Causse on peut la retrouver dans beaucoup d’endroits.
A pluche.
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Allez, ça y est… Les pèquenauds sont des violeurs et des psychopathes !… A part de mettre du Glyphosate dans ma soupe, ce qui est déjà de trop, on peut pas les accuser de tout… 🙂
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Dans ce roman on ne fait pas le procès aux paysans.
C’est plutôt une histoire de « brouteur ».
A pluche.
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Ah ? Oui ?… Il faudra moi aussi que je raconte une histoire de Prouteur !
Je suis passé pas lojn de chez toi, le 28… Mais que de déviations pour travaux ! J’ai fait 30 bornes de plus et mis beaucoup plus de temps que prévu : 7h au lieu de 5 1/4… Au retour j’ai pris le chemin le plus long (A6)… J’ai mis 5h30… J’aurais du faire la même chose le matin…
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Ici aussi ils ont décidé cette année de rénover les trois ponts qui enjambent la Loire, alors cela complique les choses quand tu doit rejoindre le département voisin.
A pluche.
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C’est le genre de livres qu’on lit d’une traite, merci et bises
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Je ne suis pas un grand lecteur, comme il y a 5 personnages qui racontent je l’ai lu en 5 fois 😀
A pluche.
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