L’ utilisation du cheval de Trait s’adapte parfaitement à la production biologique et biodynamique.
L’Énergie cheval, une alternative au travail motorisé dans le respect des terroirs.
À l’heure où de plus en plus de vignerons se tournent vers une culture davantage raisonnée de leurs vignes et reviennent au travail du sol plutôt qu’aux pesticides, une méthode ancestrale refait son apparition : le cheval de trait.
Une association, Équilandes les traits du Val de Loire, basée à Boulleret, l’a bien compris et propose ses services aux vignerons, mais aussi aux maraîchers, pour leurs champs, et aux collectivités, pour leurs espaces verts.
Ce dernier week-end, nous sommes allés nous promener sur un petit marché sur la commune de Sancerre, et nous avons pu assister à une démonstration du travail au cheval de Trait.
J’aime bien les chevaux Ardennais. Je n’en ai pas beaucoup vu au travail. J’ai entendu un bûcheron du Jura dire qu’il débardait les zones sensibles avec un Ardennais. Merci, Anatole, et une très belle journée à toi.
PS. Sans compter le Percheron de mon grand père … beaucoup moins élégant !
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Le travail au cheval de trait a été abandonné au profit de la force motorisée, il y a malgré tout des zones sensibles où le tracteur ne peut pas aller et où l’équidé est le bienvenue. Avec cette course contre la montre du profit ce n’est pas demain que nos paysans vont reprendre les vieilles techniques ancestrales de cultures.
A pluche.
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J’avais vu, il y a quelque temps, une telle démonstration à l’entrée de Sancerre, en venant d’Aubigny, mais n’avais pas le temps de m’arrêter. Le cheval, en plus de ne pas émettre d’hydrocarbures imbrûlés ni de particules fines, fertilise le sol avec son crottin. Reste, évidemment, qu’il a la vilaine manie de péter et d’émettre du CO², mais ce n’est rien comparé aux fumées de sarments!
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J’ai lu que le cheval était utilisé sur certaines zones sensibles pour faire du débardage en zone humide.
Dans cette course au profit le cheval n’est peut-être pas la solution, mais son coté respect de la nature devrait être mis en avant.
A pluche.
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De magnifiques animaux en effet et dont on a oublié la « valeur ajoutée » non mesurable économiquement… Mais qualitativement
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Économiquement, le cheval n’est pas la solution pour gonfler ses profits, mais produire moins mais en bonne qualité serait un plus, mais tant que les banques dirigeront le monde ???
A pluche
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J’ai une tendresse particulière pour ces chevaux, bises
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Travail peu bruyant, écologique, et sauvegarde du cheval de trait qui avait presque disparu.
A pluche.
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Hé oui ! On est obligé de montrer aux gens comment on faisait et on a fait pendant des siècles… Tout s’oublie si vite… Alors qu’il y a des solutions pour tout, m^me si on n’a plus de pétrole…
Bonne soirée
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Effectivement, heureusement qu’il y a encore des gens pour sauvegarder le travail manuel et animal.
A pluche.
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Je reçois même ta réponse à mon comm quelques minutes après… Merci… Il a eu peur ton ancien Boss ?
Bonne soirée 🙂
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C’était prévu que tout aller rentrer dans l’ordre.
A pluche.
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Depuis une bonne dizaine de jours que cela dure…
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C’est reparti je reçois de nouveau la pub sur la poste.
A pluche.
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