Et si partager une simple miche de pain transformait profondément les rapports humains ?
Quand son mariage et son entreprise familiale font naufrage, Polly Waterford quitte Plymouth et trouve refuge dans un petit port tranquille d’une île des Cornouailles. Elle s’installe seule dans un minuscule appartement situé au-dessus d’une boutique laissée à l’abandon. Pour se remonter le moral, elle se consacre à son plaisir favori : fabriquer du pain. Alors qu’il n’y a plus dans le village qu’une boulangère irascible au pain sans saveur, les arômes de levain qui s’échappent de chez elle attirent très vite la curiosité et la sympathie des habitants. Petit à petit, d’échanges de services en petits bonheurs partagés, elle ravive l’esprit d’entraide et de partage dans le village.
Au fil des rencontres farfelues (un bébé macareux blessé, un apiculteur dilettante, des marins gourmands) et au gré des événements heureux ou tragiques qui touchent la communauté, ce qui ne devait être qu’un simple « break » devient l’entreprise de sa vie.
Polly se révèle enfin à elle-même : une femme déterminée et créative, prête à mordre dans la vie comme dans une mie de pain chaude et croustillante.
Un bon petit roman qui, sur fond de crise économique prône des valeurs de partage et d’entraide. Un ton bienveillant et drôle, pour une histoire romantique avec quelques accents mélancoliques qui ne tombe jamais dans la mièvrerie.
Je suis toujours attentif à la page de couverture et si je ne suis pas inspiré je passe mon tour même si le roman est de bonne qualité. Avec le macareux sur l’épaule je me suis dit que quelqu’un qui aimait les animaux devait aussi aimer les humains.
On passe un bon moment sur cette petite îles des Cornouailles et partager c’est une bonne chose mais il ne faut pas que ce soit toujours dans un sens 🙂
Les macareux, ça mange des croquettes pour chats?
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Je ne pense pas, c’est plus le poisson qu’ils apprécient mais pourquoi pas des croquettes au saumon?
Chez nous les pies depuis qu’elles ont découvert la gamelle du chat font la navette.
A pluche.
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Et de lire qu’elle prépare le pain, qu’elle le cuit…On hume les odeurs! 😉 Miam
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Oui, mais nous n’avons pas un copain riche milliardaire pour nous payer un four à pain 😉
A pluche.
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Cela n’existe pratiquement plus, dans les coins reculés, les boulangeries qui font du vrai pain… Hélas !
Bonne journée
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J’achète mon pain chez un boulanger, il est quand même de meilleur qualité que celui du supermarché.
Si j’avais un four dans mon jardin je sais bien ce que je ferais 😉
A pluche.
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