A travers une quinzaine de récits campagnards, l’auteur nous entraîne dans un monde qu’il a bien connu, celui « d’avant ». L’auteur recrée pour nous le bestiaire et le paysage affectif de son enfance.
Conteur berrichon, l’auteur se définit comme « ayant gardé ce goût paysan du silence ».
Pascal Pauvrehomme est un auteur de notre petit coin de France, lors d’un après midi théâtre nous avions eu droit à la lecture d’un petit texte « le mouchoir à carreaux » et quand j’ai vu ce petit livre, je me suis empressé de l’emprunter.
Cela amusera les gens du terroir, et on pourra remarquer qu’il parle aussi du grand père qui se retrouve après avoir passé sa vie à la campagne dans un bâtiment carré en béton avec une fenêtre qui donne sur un parking où il voit les habitants partir et revenir du boulot à des heures précises.
un peu comme lorsqu’on voit les corneilles partirent au petit matin et revenir à la tomber du jour !
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Corneilles et corbeaux vivent beaucoup en ville maintenant, un peu à l’inverse de nous qui vivons à la campagne et qui allons faire nos courses en ville.
A pluche.
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Tof tof top… (Je fais le bruit du tracteur)… Qu’est-ce qu’il pollue… On va lui augmenter son diesel et lui donner une prime de 4000 euros pour acheter un tracteur de 100.000 Euros…
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Je ne suis pas certain que c’était un diesel, mais il me semble qu’il était de marque Française, tout à bien changé depuis 😦
A pluche.
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Des pepites que ces histoires là, bises
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Oui, ceux qui ont toujours vécus en ville seront un peu déçus.
A pluche.
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