Machine à casser les noix.

 

Pour moi, pas question de me lancer dans un projet comme celui-là, j’ai vu un ancien qui casser des noix selon une technique bien à lui et j’ai donc repris le principe.

Avant d’arriver au cerneau de noix il faut enlever la coque, on peut utiliser le fameux casse-noix qui saura sans doute vous pincer au moins une fois, le petit couteau pointu, vous pouvez aussi casser les fruits dans la paume de la main.

Mais vous pouvez aussi utiliser la méthode d’Anatole.

Il vous faut un carton d’environ 1m de long que vous transformez en gouttière.

Un morceau de tasseau de bois entre 65 et 70 cm.

Un couvercle en plastique boite.

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Un marteau en bois.

Le carton en forme de gouttière est découpé pour laisser passer le tasseau qui va servir d’enclume, le couvercle sert de joint, cela évite de laisser passer les petits bouts de coquilles.

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Le principe, on tape la noix en dosant sa force, la coquille et le cerneau tombent dans la goulotte, sous l’effet de la gravité ils vont descendre jusque dans le récipient que vous aurez mis en bas.

Après il vous restera à trier les morceaux.

 

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25 réflexions sur “Machine à casser les noix.

  1. La machine à briser menu est vraiment exceptionnelle ! Une super-réalisation. Et puis la musique est engageante … c’est moix ou la noi !
    Le maillet de sculpteur est une belle idée également. Je pose mon index sur l’enclume. Je donne un petit coup sec et je bondis et rebondis sur la poutre au dessus tout en criant comme un chat sur la queue duquel j’ai inopportunément posé le pied. Ben oui, on peut pas tous être habiles !
    Merci, Anatole, et un beau samedi à toi.

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    1. La mailloche (comme je l’appelle) est fait maison sur le tour à perche en février 2018, le contact du bois sur les doigts semble moins douloureux que celui du métal 🙂 après quelques essais on arrive à gérer le bon « timing » pour enlever la main au bon moment, à force un petit creux se forme sur le tasseau qui sert d’enclume et la noix reste bien sagement en place en attendant le coup de fatal.
      A pluche.

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  2. L’idée est ma foi intéressante! Par contre, comme en général, il me faut reprendre chaque noix plusieurs fois avant que le cerneau (ou ce qu’il en reste), je serais obligé à une interminable gymnastique pour les ramasser. Pour casseurs de noix adroits comme toi, Anatole, donc…

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    1. C’est une question de pratique, si tu tapes trop fort c’est pas bon et si tu tapes pas assez c’est pareil, quand tu as appris à conduire tu n’étais sans doute pas aussi bon que maintenant.
      A pluche.

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    1. Effectivement, mais le carton glissé derrière un meuble, le tasseau debout appuyé sur le meuble tout cela dans le petit cabanon au fond du jardin, tes doigts te remercieront après avoir cassé dix kilos de noix.
      A pluche.

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      1. Cela fonctionne aussi avec les noisettes si elles sont de belles tailles, il faudra sans doute un petit temps d’adaptation puisque la coquille de cette dernière est un peu plus dure il me semble.
        Je n’ai pas de noyer à la maison, je collecte dans la campagne au fil des chemins.
        Et dans les noyers on ne trouve pas toujours que des noix.

        A pluche.

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