La Loire.

Ce grand fleuve sauvage qui courre sur 1006 kilomètres commence à tirer la langue, ici au pied de la Charité sur Loire je pense qu’il est possible de traverser le lit de la rivière sans se mouiller les aisselles.

Durant cette période de basse eau on peut découvrir le fond avec les vestiges des anciens ponts et voir les piles de bois qui ont été plantés il y a plusieurs siècles.

Ici c’est une vue de la nouvelle passerelle qui enjambe le lit principale, sur la gauche il y a un deuxième bras, pour situer l’endroit nous étions dans le rond rouge.

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Ce pont a été rénové l’année dernière et on peut voir qu’il n’a pas encore été patiné par le temps.

Voici un autre cliché en amont du pont.

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Toujours sur le lit principal, une photographie prise depuis le faubourg qui se trouve au milieu de la Loire.

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13 réflexions sur “La Loire.

    1. C’est bien rare qu’on retrouve chez nous des corps, quelques fois des suicidés qui se jettent à Nevers.
      J’ai lu que Vinci avait bétonné la seine il y a quelques mois à l’insu de son plein grès.
      A pluche.

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  1. A La Charité, c’est très compliqué, car il y a comme tu le dis, les vestiges d’anciens ponts, mais aussi de pêcheries. J’étais allé voir une conférence sur le sujet il y a quelque années.

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    1. Effectivement je voulais aussi parler des pêcheries mais c’est dans ses moments là qu’on voit mieux le fond, le long de la vieille N7 on peut voir des murets qui semblent vouloir renvoyer le fleuve et qui sont sous l’eau habituellement.
      A pluche.

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  2. C’est très joli… Mais pas pratique pour se laver les aisselles… Tant pis lave-toi jusqu’aux tétons… 🙂
    Très bonne journée à toi

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  3. Ce qui est assez remarquable c’est qu’on la reconnait mème à des centaines de kilomètres. Sauf en effet quand elle entre en Pays nantais où je préfère ne rien dire sauf que ce n’est pas la partie que je préfère de ce fleuve.

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    1. Depuis ma naissance et au fil des déménagements, j’ai eu l’occasion de croiser la route de la Canche, la Seine et maintenant la Loire, je dois avouer qu’aucun des trois ne se ressemble.
      J’aime bien aussi l’Allier qui vient se jeter dans le fleuve à quelques kilomètres de chez nous.
      A pluche.

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