Sainte Hildegarde, au XIIe siècle, fut la première à signaler la piloselle comme « tonique du cœur ». La médecine populaire l’utilisait comme astringent, à la fois contre les hémorragies (du nez et de l’utérus) et contre les diarrhées chroniques. La piloselle faisait partie de la pharmacopée empirique des paysans landais: ils avaient pressenti que la plante éliminait l’urée et l’utilisaient dans le traitement de urémies.
La piloselle est une plante vivace de 10 à 30 cm de hauteur, à rejets rampants et commune dans les lieux secs. On la rencontre dans les régions tempérées de l’hémisphère nord. Ses feuilles allongées, hérissées de soies blanches sur les deux faces, forment une rosette. leur forme à valu à la plante le surnom populaire « d’oreille de souris ». Le pédoncule ne porte pas de feuilles mais un capitule unique composé de fleur jaune pâle toutes en languette.
En solution externe la médecine populaire utilisait la poudre de feuille sèches, en prises nasales pour arrêter les saignements de nez et en application de feuilles fraîches, broyées sur les blessures pour en hâter la cicatrisation (toujours pratiques en cas de guerre ou en stage de survie).
On l’appelle aussi « épervière » à cause d’une vieille croyance populaire selon laquelle les oiseaux de proie buvaient le suc de la piloselle pour fortifier leur vue.
Sources:
Prenez soin de vous et découvrez la nature et ce qui la compose.
Je tâcherai de la repérer dans mon jardin, car elle pourrait me servir en cas d’hémorragie de l’utérus.
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C’est amusant car un usager m’avait raconté qu’une connaissance masculine s’était cassé le col de l’utérus et que durant la convalescence il avait attrapé des oscars et bien d’autres anecdotes 🙂
A pluche.
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La menthe pour soulager maux de crâne (appliquer des feuilles humidifiées sur les tempes et laisser agir minimum dix minutes), les rhumatismes/courbatures (même procédé que pour les maux de crâne). La pâquerette en infusion pour les inflammations (feuilles et fleurs). Et le traditionnel miel-citron-eau chaude pour la gorge irritée et la toux. Une belle manière de soulager du pangolin-91.
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Et moi qui pensait que la menthe n’était utile que dans le thé et le Mojito 🙂
A pluche.
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Et en regardant l’explosion de pissenlit devant chez moi, j’ai pensé à toi…mais sans gelée
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C’est sympa de penser à moi 🙂
Je n’en ai pas parlé sur le blog mais avec la racine torréfié, j’ai aussi fait du café de pissenlits, qui ressemble à la chicoré.
A pluche et portes toi bien.
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Article intéressant encore 1 fois. Pas de nouveau billet aujourd’hui ? Portez-vous bien. Bisous
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Merci, à force de tourner dans le jardin nous allons bientôt avoir fait le tour 🙂
Pas de billet aujourd’hui, la publication va reprendre sa vitesse de croisière à l’approche du 11 mai.
Tout va bien.
A pluche.
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Il y a les plantes médicinales du Dauphiné… Mais du Confiné ??? C’est où cette région ??? 🙂
Très bonne journée à toi
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La région du confiné est au centre du pays, à une distance respectable de Versailles et de son Château.
A pluche.
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Merci pour les infos je vais me procurer ce dictionnaire. je suis sûr qu’il y a plein de chose a découvrir encore. Bon confinement.
P.S. : passage aléatoire car depuis que des travaux d’amélioration son fait pour internet chez nous c’est une catastrophe , en moyen 1 h d’iternes par jour et encore.
Prenez soins de vous etdeconfinement relaxé et protégé surtout, kenavo
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Effectivement il y a toujours à découvrir et parfois c’est juste à coté de chez nous.
Tout va bien chez nous, la connexion est plutôt bonne en tous les cas bien meilleur que lorsque nous étions chez S_R 🙂
A pluche.
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