Je vous ai déjà parlé du Chardon Marie dans un précédent billet mais je n’avais pas mis de photo de la plante lorsqu’elle est en fleur, je ne vais pas vous rappeler toutes ses propriétés.
Ici j’ai rencontré celle ci sur le talus de l’ancienne voie de chemin de fer, ancienne la voie du tacot, le train ne passe plus depuis une cinquantaine d’année, il y a quelques clichés sur ce billet.



J’ai remarqué un peu plus loin que les pieds avaient été massacrés, peut-être le paysan qui a voulu en découdre avec le Silybum marianum (son autre petit nom).
Quand on veut en découdre avec une telle plante, mieux vaut s’armer de bons gants! Le dernier passage du Tacot date du 15 Août 1948.
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Oui, c’est vrai que c’est une plante qui laisse des traces.
Merci pour la précision, à 22 ans près j’avais vu juste 🙂
A pluche.
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Et visiblement marie n’est pas restée vierge à voir les chardons alentours
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Effectivement tout le long du talus on trouve des descendances, je soupçonne Joseph de ne pas avoir respecté les consignes en vigueur :).
A pluche.
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A Paris je connaissais « Chardon-Lagache »… Mais sinon, non !!!
Très bonne journée à toi, puits de science de Sancergues !!!
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Je devrais peut-être revoir la fille du puisatier 🙂
A pluche.
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J’espère que tu n’auras pas besoin de revoir » la femme du boulanger… » 🙂
Très bonne journée à toi
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Je l’ai vu dimanche matin, la femme du boulanger 🙂
A pluche.
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