
En quatrième de couverture on peut lire ce résumé:
Le train arrive dans la petite gare de Thyanne, terminus de la ligne. Priam Monet descend pesamment d’un wagon. Presque deux mètres pour un bon quintal et demi, mal sapé et sentant le tabac froid, Monet est un flic misanthrope sur la pente descendante. Son purgatoire à lui c’est d’être flic à l’IGPN, la police des polices. Sa mission : inspecter ce petit poste de la police aux frontières, situé entre les Alpes françaises et italiennes. Un bled improbable dans une vallée industrieuse où les règles du Far West ont remplacé celles du droit. Monet n’a qu’une idée en tête, accomplir sa mission au plus vite, quitte à la bâcler pour fuir cet endroit paumé.
Quand on découvre dans un bois le cadavre d’un migrant tombé d’une falaise, tout le monde pense à un accident. Pas Monet. Les vieux réflexes ont la peau dure, et le flic déchu redevient ce qu’il n’a cessé d’être : un enquêteur perspicace et pugnace. La victime était-elle un simple migrant? Qui avait intérêt à la faire disparaître? Quels lourds secrets cache la petite ville de Thyanne? Monet va rester bien plus longtemps que prévu.
Je n’ai pas de bricolage en ce moment alors j’en profite pour lire, ce livre m’a bien captivé et comme je suis en panne d’inspiration pour meubler le blog je vous partage mon ressenti.
C’est un roman que j’ai lu en deux traites, preuve s’il en fallait que j’étais bien au frais dans les Alpes franco-italienne. Pour une fois le flic n’est pas beau gosse, pas musclé, pas sportif mais bon mangeur ce qui nous change un peu, par contre il est tenace et perspicace.
Si vous avez l’occasion de voir passer ce livre dans votre bibliothèque et que vous aimez bien les livres avec des loups et des flics, il est fait pour vous.
Il y a bien sûr ces flics beaux gosses et musclés, mais beaucoup d’autres qui sont alcooliques, caféïnomanes et accros au tabac, quand ce n’est pas à autre chose. Ton résumé me plaît. Je viens juste de terminer « le Jour des Cendres », de JC Grangé: un bon cru!
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Je ne crois pas avoir lu un roman de Grangé pour le moment, dernièrement j’ai lu les aventures du Kon Tiki, une expédition un peu à la façon de Jules Vernes sur un radeau de balsa, d’après une histoire vrai.
A pluche.
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C’est bien de varier. Tu aurais aussi pu lire un livre de bricolage. C’eut été un peu du bricolage par procuration.
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Les livres sur le bricolage que j’ai à la maison j’en ai fait le tour, depuis la programmation du billet j’ai trouvé une autre idée de bricolage, sans doute sur le blog bientôt.
A pluche.
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Le loup est parfois dépeint de manière absurde en littérature. Est-ce le cas ici ?
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Le loup sert ici de coupable comme souvent 😦
A pluche.
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C’est regrettable…
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« C’est un roman que j’ai lu en deux traites » : Tu trayais les vaches tout en lisant ??? Bravo… Alors là, chapeau bas !!!
Très bonne soirée à l’homme aux nombreuses tentacules…
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C’est bien d’être multitâches 🙂
A pluche.
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Alors j’ai trouvé la réponse à ton grand concours… Ta première invention, c’est ^pour traire les vaches pendant que tu lis… La deuxième c’est pour lire ton bouquin à haute voix, pendant que tu traies les vaches… Et Voilà !!!
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