Le genévrier est un petit arbre épineux de la famille des cyprès dont les baies mettent deux ans à mûrir, passant du vert clair au noir. Les baies de genièvre sont utilisées pour parfumer les plats de gibier, les pâtés et la choucroute. Elles ont la réputation de favoriser la digestion des plats riches en matières grasses. Elles servent également à parfumer divers alcools : vin de genièvre, gin, aquavit, jenever, par exemple.
Sources: Le genévrier.
Peu connu, l’électuaire de genévrier est une sorte d’extrait sombre et épais obtenu par évaporation lente d’une décoction prolongée des baies dans de l’eau.
- Lavez les baies de genièvre fraîches et mettez-les dans une casserole. Couvrez à peine d’eau.
- Faites cuire 10 minutes puis broyez les baies au mixer. Récupérez le jus en utilisant une passoire à grille fine. Pressez bien les baies pour en extraire le maximum.
- Ajoutez au liquide obtenu une égale quantité de miel.
- Laissez bouillir doucement pour obtenir la consistance d’un sirop.
- Remplissez plusieurs bocaux que vous aurez préalablement passés à l’eau bouillante, puis fermez.
L’électuaire se tartine ensuite sur du pain. Il se conserve près d’un an dans un endroit sombre et frais.
L’abbé Kneipp recommandait de faire une cure dont je vous donne les consignes:
Prendre d’abord 4 baies par jour, pour, en augmentant d’une baie par jour, arriver à 15 baies.
Descendre ensuite jusqu’à une baie.
Sources: le Petit Larousse des Plantes Médicinales.
Anatole M 
Ah, la choucroute… Il y a longtemps que je n’en ai pas fait en version Vegane. Ok, c’est loin de l’originale mais c’est une tradition familiale quand même. Donc graine de genièvre, toujours !
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je crois que je n’ai même pas quelques baies de genévrier dans mon placard à condiments, faudra que je pense à faire le plein, à la maison nous faisons cuire du chou rouge avec des pommes et je dois dire que la choucroute si nous en mangeons une fois dans l’année c’est le grand maximum.
Cet automne nous allons tenter de manger du chou kale du jardin mais c’est pas gagné.
A pluche.
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Lorsque tu fais cuire du chou rouge avec des pommes, essaye comme nous d’y ajouter des raisins secs; tu peux même mettre un peu de lard légèrement fumé coupé en tout petits dés. Pour le sujet principal, à savoir le Genévrier, il pousse sur les terrains pauvres (landes, causses, etc…) car il n’aime pas la concurrence. Calcaire ou acide, peu lui importe.
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Le genévrier a été pris en photo dans la Nièvre au Coteau du Chaumois qui regroupe tes recommandations sur son installation.
A pluche.
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J’ai un article en préparation sur un coteau calcaire nivernais à Asnan, mais peu de temps pour le finaliser. C’est où, ce Chaumois? Peut-être du côté de Pouilly?
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Un article est prévu demain pour le coteau du chaumois, mais c’est plutôt à coté de Pougues.
A pluche.
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tout ça c’est bien beau et bon mais ça pique bien et pour une bonne quantité il y en la moité qui tombe tu utilise un peigne?
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Il y a la technique du parapluie qui est plutôt efficace, ici pas de ramassage car c’est un site préservé, donc pas de cueillette sauvage. (parapluie retourné, tu secoues la branche juste au dessus avec un bâton fourchu).
A pluche.
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Tu me sauves, chez nous les genévriers sont rares j’irai en cueillir sur le causse de Gramat dans le Lot pour les vacances
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Quel poivrot tu fais… Tu vas produire du Genièvre… J’en avait acheté il y a quelques années… Pouah ! C’est comme du whisky ou bien de l’alcool à bruler…
Très bonne journée à toi
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Je suis en train de me demander si il ne faut pas que j’aille ramasser des fleurs de sureau avant que l’orage ne massacre tout, le genièvre attendra des jours meilleurs 🙂
A pluche.
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Et que comptes-tu faire avec le sureau ? Du sirop de sureau ?
Très bonne soire à toi
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Un billet prévu pour lundi si tu peux attendre jusque là 🙂
Je peux juste te dire que cela ce mange et que certainement tu ne devrais pas.
A pluche.
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