Entre 16 et 21 grammes…

La mésange charbonnière a une alimentation qui varie selon les saisons. Au printemps et en été, elle sera principalement insectivore. Son bec court et pointu est d’ailleurs tout à fait adapté à ce style d’alimentation. Elle aimera chasser les araignées, les sauterelles, les criquets, les vers ou encore les fourmis. Il lui arrivera tout de même de se nourrir de petits fruits ou de petites graines, comme des cerises ou des graines de hêtre.

En automne et en hiver, son alimentation deviendra beaucoup plus végétarienne. Elle se nourrira principalement de baies, de sève d’arbres, de nectar ou encore de bourgeons. Il lui arrivera de temps en temps de se nourrir d’une araignée si elle a la chance de tomber dessus.

Sources: ici

J’avais sorti mon appareil photographique pour prendre en photo notre fidèle Rouge-gorge mais le temps de sortir le matériel c’est une tribu de mésanges qui a pris possession des lieux.

Les mésanges bleues ont préférées rester dans le châtaignier à la recherche de petits insectes.

Publicité

14 réflexions sur “Entre 16 et 21 grammes…

    1. Le châtaignier a été pillé par les geais cette année, nous en avons eu jusqu’à 3 dans l’arbre (beaucoup d’indésirables dans les fruits cette fois), tu m’en as déjà parlé mais les jours de recensements j’ai souvent pas de visiteur.
      A pluche.

      J’aime

  1. « Entre 16 et 21 grammes »? Voilà un titre d’article qui m’a laissé songeur; serait-ce la quantité de cocaïne nécessaire à notre ami Anatole pour qu’il tienne la journée?

    Plus sérieusement, le problème des petits oiseaux chez nous, c’est qu’ils servent souvent de repas à nos quatre félins.

    J’aime

    1. La population de choucas reste dans les environs de l’église et font parfois de petits passages au dessus de la maison sans jamais s’arrêter. Chez nous les merles, pinsons, mésanges, geais, pigeons, rouge-gorge, rouge-queue prennent le temps d’une petite pause dans le jardin.
      A pluche.

      J’aime

  2. Ah oui, ici aussi c’est une belle réserve d’oiseaux : buses (ils occupent le même territoire ad vitam aeternam et vivent en couple, couple fidèle là aussi à la vie à la mort), mésanges, moineaux (ah ceux-là, c’est mes potes ! Moins potes lorsqu’ils chient tranquilou milou sur ma tuture ! lol), merles, rouges-gorges, corneilles, hérons (surtout au bord du canal, bien que s’aventurant parfois dans les champs alentours). Ton article me donne envie de faire une séance photo des oiseaux du coin 🙂

    Hier, dans les bois, j’ai croisé deux magnifiques cervidés. Je les ai interpelés : « hey les copains, vous cachez-vous de moi ? » 🙂 Ils sont restés m’observer. Superbe moment. Oh, je rêve de rencontrer des blaireaux, c’est un bel animal.

    J’aime

    1. C’est vrai que les chats sont de redoutables prédateurs, je me souviens que le merle n’hésitait pas à attaquer le chat de la voisine quand il s’approchait trop près du nid.
      Le pic vert il y a longtemps que je ne l’ai pas vu, mais en début de semaine il y avait un pic épeiche.

      A pluche.

      J’aime

Les commentaires sont fermés.