Ce petit arbrisseau buissonnant toujours vert aime les terrains rocailleux et incultes et les bois secs. Ces tiges dressées, nues à la base, très rameuse vert le haut forment des touffes compactes. les fruits sont de grosses baies globuleuses rouge vif, on utilise le rhizome rampant gris jaunâtre, garni de fines racines en décoction (20 à 40 gr de racine par litre d’eau, à laisser bouillir un quart d’heure contre les troubles veineux.
C’est un cousin de l’asperge et il est comestible, au milieu des touffes épineuses pointent au printemps de jeunes pousses d’un beau violet sombre, luisantes et fragile comme du verre.




Lors de ma petite sortie forestière je me suis fait observer par 4 ruminants sur le sentier du retour.

Sources: le petit Larousse des Plantes Médicinales.
…et du coup tu en as repris pour le cuisiner ?
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Non, il faut attendre le printemps pour trouver les tiges violettes, le reste de la plante est coriace.
A pluche.
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Il y a dans un petit bois dans le village de nombreux fragons, qui voisinent avec le houx, sous les charmes. Au sol, des cyclamens sauvages. Je ne manquerai pas d’y aller en quête de ces pousses violettes…
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Faut attendre le printemps et faut penser à prendre des gants car le reste de la plante est agressif 🙂
A pluche.
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Je ne connaissais pas cette plante ! Trop cool les chevreuils en train de te regarder et que tu aies pu immortaliser le moment c’est particulièrement marrant ! Merci pour le partage encore une fois. Bisous
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Il y en a beaucoup dans le bois mais pas toujours de fruits rouge.
A pluche.
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Si c’est comme du verre, fait gaffe de ne pas te couper en les ramassant…
Très bon après midi à toi
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Je ferais bien attention mais il faut attendre le printemps pour regarder.
A pluche.
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