Charly est un des trois hameaux de la commune de Andilly dans le département de la Haute-Savoie.
C’est un joli petit coin dans le pays de Cruseilles qui mérite un petit détour si vous êtes dans le coin, ici vous êtes devant la petite chapelle.
On peut y trouver quelques artisans et même un drôle de moyen de déplacement.
Est-ce que quelqu’un a une idée ?
A une époque les habitants avaient tellement peur du feu qu’ils ont fait des réservoirs pour garder de l’eau en cas de besoin, c’est pour cette raison qu’on trouve des points d’eau à plusieurs endroits du village.
Au dessus du hameau on peut trouver ce genre de petit bassin.
On ne peut pas dire que nous avons eu beaucoup de soleil durant notre courte escapade mais à la veille de Noël il ne fallait pas trop en demander.
Une petite sortie à pied autour d’un petit étang où nous avons rencontré des pêcheurs de carpes.
Nous avons pu assister à la sortie du monstre des entrailles de l’étang et nous avons été sollicité pour fixer l’événement sur le téléphone du pêcheur.
La belle carpe a retrouvé le chemin de l’étang après la petite séance photo.
La chia, (Salvia hispanica) est une plante herbacée annuelle de la famille des Lamiacées, originaire du Mexique. Cette sauge était cultivée pour ses graines alimentaires à l’époque précolombienne par les Amérindiens. Les graines de chia, qui furent une des bases de l’alimentation de plusieurs anciens peuples du Mexique, servirent aussi à des fins médicinales et comme offrandes aux dieux aztèques.
Après avoir été ignorées pendant des siècles, ces graines ont attiré l’attention des nutritionnistes pour leur haute teneur en lipides (25 à 38 %) comportant une forte teneur en acide alpha-linolénique (du groupe oméga-3). Depuis la fin des années 1990, une culture commerciale s’est développée dans plusieurs régions d’Amérique et d’Australie, pour fournir des graines aux magasins diététiques des pays développés.
L’ autre jour j’avais repéré un champs avec une drôle de culture, en passant en voiture je pensais que c’était du chanvre. Alors ce jour j’ai grimpé sur mon fidèle destrier et je suis parti à la découverte de cette nouvelle plante cultivée, nous sommes quand même assez éloigné du Mexique.
J’avais lors d’une petite balade aéroportée eu l’occasion de voir le château de Meauce depuis les airs, c’était en 2013.
Château de Meauce.
Sur la photo on peut remarquer la végétation ayant pris ses aises, le nouveau propriétaire que nous avons rencontré ce dimanche a acheté ce monument en 2016 et depuis a entrepris des travaux.
Voici quelques images qui devraient vous donner envie d’aller y faire un tour si vous passez dans la région, ici nous sommes en bourgogne à quelques kilomètres de Nevers.
Alors que j’étais en repérage pour un futur jeu de piste, je suis tombé sur un noyer avec des fruits bien plus petits que ceux que je trouve habituellement, je ne sais pas si c’est une conséquence de la sécheresse ou s’ils sont toujours de cette taille.
mini noix.
J’en ai ramassé une poignée pour voir s’il y avait quelque chose dedans et elles sont bien garnies.
Rappelez-vous au printemps je vous avais parlé des petites plantes qui s’installent sur les trottoirs des villes et des villages, et bien en cet fin d’été 2022 c’est un pied de Tabac que j’ai repéré en face de l’école primaire.
Sans aucun doute une graine qui a voulu vivre sa vie loin du massif de la commune, je ne sais pas si je penserais à récupérer des graines mais pour le moment c’est encore en fleurs.
tabac
Faut quand même en vouloir pour s’installer entre le bitume et le mur de pierres.
Je n’ai pas pensé à sentir la fleur, il parait que cela dégage une odeur agréable. Je me demande s’il n’est pas possible de faire sécher ces grandes feuilles pour une consommation personnel, si vous avez un avis sur la question le commentaire est fait pour cela.
Petite promenade sur les bords de Loire en ce dernier dimanche du mois d’Août 2022, tout le monde est d’accord pour dire que le fleuve est au plus bas, certains vont jusqu’à dire qu’ils n’ont jamais vu cela.
Alors oui c’est un peu les basses eaux actuellement alors qu’en hiver on peut voir passer des morceaux de glace, en ce moment c’est les vestiges des anciens ponts de bois qui apparaissent quand ce n’est pas les restes d’écluses à poisson.
piles de bois
C’était l’occasion de voir des galets voyageurs, un petit jeu sur Facebook.
galet voyageur.la face cachée du galet.
Un petit coup d’œil sur les remparts de la Charité sur Loire.
les remparts de la charité sur loire.
Et puis cette Loire qui coule encore et dire que durant le siècle dernier La Charité sur Loire a eu son aéroport sur le fleuve de 1925 à 1939, les « aloirisages » se multiplièrent, ce serait bien difficile actuellement.
pas d’aloirissage en prévision.
Les seuls qui se posent en Loire, ce sont les cormorans et les pigeons sur les petits îlots.
La terre de Maubranche appartenait à Jacques Cœur. Le chef de la garde écossaise de Louis XI, Thomas Scuer, reçu la permission de fortifier la motte de Maubranche et construisit le château (1450). Les armes de France et d’Écosse, ses deux patries, sont réunies et sculptées au-dessus de la porte d’entrée. Le château a la forme d’un quadrilatère avec trois tours rondes (dont une rasée au temps des guerres de religion) et un énorme donjon carré. Maubranche connut de nombreux propriétaires, la révolution, et était dans un état de délabrement très avancé en 1880.Puis le Marquis de Chaumont Quitry fait venir les deux plus renommés de son époque Paul Ernest Sanson et Henri Duchêne. Sanson restitue au château son caractère médiéval, altéré par les aménagements des XVIIe et XVIIIe siècles. Il fait construire les communs : des écuries, une basse-cour, une conciergerie et une maison pour le jardinier. Ces bâtiments étaient nécessaires en 1900 au bon fonctionnement du domaine.
Le domaine traverse les deux guerres. La restauration du parc de Duchêne a été terminée en 2012. Tous les bâtiments conciergerie, bassecour, écuries, potager sont loués et habités.