Sortie photos au marais…

Le marais comme vous l’aurez compris c’est un espace vert à deux pas de chez moi, pas besoin de voiture, en moins d’un quart d’heure je suis en pleine nature, alors j’en profite.

Les vannes de la pelle ont été refermées et le niveau d’eau a repris dix bon centimètres, la nature commence à se réveiller je suis passé à cet endroit il y a moins d’une semaine et même si j’avais bien repéré les pieds d’orchidées sauvages je n’avais pas remarqué ces crocus.

Cela ne semble pas être celui qu’on trouve sur le bord des routes ou dans les prairies mais plutôt une plante qui aurait été déplacé par un animal, et quelques mètres plus loin un autre spécimen.

Celui là ne semble pas être sauvage non plus.

Alors que j’étais assis sur une grosse bûche attendant la réapparition de la poule d’eau qui s’était réfugiée dans les roseaux, j’aperçois cette branche qui ressemble à un petit pont mais ici point de gondole.

Pour finir cette petite et courte promenade photo graphique le signe qui ne trompe pas, celui de la promesse d’un nouveau printemps.

Dans une quinzaine de jours, il sera là pour préparer la nouvelle saison.

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Poissy, années 1988…

C’est en voyant les clichés en noir et blanc d’un blogueur qui se reconnaîtra s’il passe dans le coin que j’ai ressorti des vieilles photographies que j’avais faites en 1988, à cette époque j’habitais un petit coin des Yvelines.

En 1988, je faisais parti d’un club photo, je développais mes bobines dans la salle de bain avant d’aller faire les tirages dans le labo.

A cette époque j’avais un vieux Pentax que j’ai toujours dans un coin, le numérique a depuis changer la façon de prendre des photographies et on ne compte plus le nombre de clichés sur la bobine, c’était si j’ai bonne mémoire souvent jusque 36, maintenant en multipliant les cartes SD on n’a plus de limite.

Presque 35 ans que j’ai pris ses clichés, cela ne va pas me rajeunir.

He! OH! lien…

Pas facile de meubler le blog pour cette première moitié du mois de décembre.

Une petite photo que j’ai du retoucher avec Darktable car je me suis aperçu que j’avais deux taches cylindriques sur le cliché, sans doute des poussières.

Cette éolienne je pense qu’elle devait servir à pomper de l’eau mais il me semble ne jamais l’avoir vu tourner.

A l’heure où toutes les bonnes idées sont bonnes à prendre pour faire des économies, il faudra peut-être les remettre en service.

Résilience et accident…

Capacité des matériaux à résister aux chocs.

Après la gelée matinale, les feuilles du châtaignier sont presque toutes au sol mais on trouve encore une ou deux qui font de la résistance.

Et puis c’est l’occasion de voir sur l’arbre dénudé les quelques accidents de parcours, non ce ne sont pas des oursins échappés de la méditerranée mais deux bogues coincées dans une fourche.

Le pic vert.

Le pic vert est un oiseau de la forêt. Il vit dans les milieux boisés ouverts, les clairières, les futaies de feuillus, les bosquets, les haies arborées et les vergers. On le trouve également dans les parcs et les jardins boisés aux alentours des habitations.

Le pic vert est un oiseau solitaire excepté lors de la période de reproduction et de nidification où on le rencontre en couple ou en famille.

Plutôt timide, l’oiseau reste discret et constamment sur ses gardes, notamment lorsqu’il est au sol à la recherche de nourriture. A la moindre alerte, il s’envole se mettre à l’abri sur l’arbre le plus proche en se cachant derrière le tronc et en tournant autour pour se cacher d’un prédateur potentiel.

Ce n’est pas souvent que nous avons l’occasion de voir ce bel oiseau, même si nous l’entendons assez souvent.

Un dicton météo dit:

Quand le pic-vert crie, il annonce la pluie.

pic-vert

au casse-croûte.

il me semble avoir vu quelque chose.

Ici, je pense que c’est un jeune à cause de sa tête mouchetée, c’est le pic qui prend la majeure partie de sa nourriture au sol et inspecte moins les arbres.

Sources: les oiseaux de nos régions aux Editions du Rocher.

la Thomisidae.

Le corps de Thomisidae est très aplati, les pattes sont tenues latéralement comme celles des crabes. Les deux paires de pattes antérieurs sont nettement plus longues que les postérieures. Elles se tiennent généralement à l’affût sur une fleur et attendent qu’une proie s’approche. de nombreuses espèces de cette famille présentent des camouflages extrêmement performants.

Environ quatre-vingts espèces ont été inventoriées en France.

Sources: le guide photo des araignées et arachnides d’Europe, chez Delachaux et Niestlé.

Thomisidae

Cette petite bête habite un milieu ouvert, ensoleillés sans trop de végétation, pelouses, prairie ou bords de chemin riches en plantes à fleurs.

L’ aspergette.

L’aspergette c’est cette petite plante qui fleurie blanc sur les bords des chemins, c’est un peu trop tard pour la manger mais d’autres s’en régalent.

aspergette.

Lors de ma petite promenade j’ai pu en rencontrer un bon paquet sur le bord du chemin mais d’un stade un peu trop avancé pour les cuisiner.

Sur un des clichés ont peut remarquer ce coléoptère qui se nourrit des fleurs.

C’est le lepture tacheté ou lepture cycliste.

Lepture tachetée, Lepture cycliste.

Pour en savoir plus sur la bestiole c’est ici.

Dans mon guide des insectes, je n’ai trouvé que le lepture rouge.

Le salsifis.

Il y a pratiquement deux ans j’avais écrit un petit billet sur le salsifis, à cette époque nous étions confinés dans nos maisons et l’attestation de déplacement ressemblait à un document des années 1940 pour la circulation limitrophe.

Pas besoin de me déplacer cette fois puisque les graines emportées par le vent sont venu s’installer dans mon jardin, cette fois c’est en fleur que j’ai pu lui tirer le portrait.

fleur de salsifis
la plante en entier.
en bouton.

Je vous laisse regarder le précédent billet sur cette plante qui peut se manger.

Une pénichette…

Voila plusieurs mois que je vois cette péniche dans le port et j’ai décidé de m’arrêter pour faire quelques photos, je n’ai pas eu l’occasion de voir les propriétaires sinon je me serais renseigné sur le modèle.

Comme vous pouvez le voir la coque est en tôle, sans doute une de ces pénichettes qui empruntaient les petits canaux du Berry.

Si un spécialiste de la navigation fluviale passe dans le coin qu’il n’hésite pas à mettre un petit commentaire.

B49760
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Je me suis un peu renseigné sur l’achat d’un engin comme cela mais ce n’est pas encore pour demain, et puis maintenant que j’y pense il faut peut-être passer un permis pour déplacer un engin comme celui là ?