Le salsifis.

Il y a pratiquement deux ans j’avais écrit un petit billet sur le salsifis, à cette époque nous étions confinés dans nos maisons et l’attestation de déplacement ressemblait à un document des années 1940 pour la circulation limitrophe.

Pas besoin de me déplacer cette fois puisque les graines emportées par le vent sont venu s’installer dans mon jardin, cette fois c’est en fleur que j’ai pu lui tirer le portrait.

fleur de salsifis
la plante en entier.
en bouton.

Je vous laisse regarder le précédent billet sur cette plante qui peut se manger.

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Une pénichette…

Voila plusieurs mois que je vois cette péniche dans le port et j’ai décidé de m’arrêter pour faire quelques photos, je n’ai pas eu l’occasion de voir les propriétaires sinon je me serais renseigné sur le modèle.

Comme vous pouvez le voir la coque est en tôle, sans doute une de ces pénichettes qui empruntaient les petits canaux du Berry.

Si un spécialiste de la navigation fluviale passe dans le coin qu’il n’hésite pas à mettre un petit commentaire.

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Je me suis un peu renseigné sur l’achat d’un engin comme cela mais ce n’est pas encore pour demain, et puis maintenant que j’y pense il faut peut-être passer un permis pour déplacer un engin comme celui là ?

Un dimanche à la campagne…

Petits souvenirs d’un dimanche à la campagne et nous sommes loin de l’esprit de Bernard Tavernier, ici pas de promenade en voiture ni en barque, nos deux jambes sont les seules moyens de transport.

Il y a quelque temps je vous avais parlé de la récolte de peupliers, vous trouverez ci dessous quelques photographies du chantier et ce n’est pas vraiment joli.

En poursuivant notre chemin, nous voila arrivés devant l’ancienne maison de Roger Martin du Gard, les rats de bibliothèque (et les plus courageux) se souviendront peut-être de la suite romanesque « Les Thibault » (8 romans).

Maison de Roger Martin du Gard.

Et puis sur le retour, quelques fleurs de jonquilles.

Jonquilles

Et puis une photographie d’un animal à quatre pattes et deux grandes oreilles.

Âne.

Voila donc l’histoire en quelques clichés d’un dimanche à la campagne ordinaire.

Photos de nature…

Même un jour plutôt gris peut nous offrir du bonheur, il suffit de prendre son appareil photo et de parcourir la campagne, ici pas besoin de faire des kilomètres, l’avantage du monde rural, toutes les clichés ont été pris à moins de 200 mètres de la maison et il m’a fallu moins d’une demi-heure pour les faire.

Parmi cette série de photographies sauras-tu trouver celle qui n’a pas vraiment sa place mais qui peut éviter de voir brûler ta maison?

Au premier qui trouve la réponse, je me propose de lui envoyer une (au choix) de ces photos dans un format non compressé.

Retour de pic…

J’avais déjà mis en photo sur le blog un couple de pic épeiche, et aujourd’hui ces deux petits oiseaux sont venus faire un tour dans le jardin, aucune idée si ce sont les mêmes que la dernière fois.

Je trouve que ces petits volatiles sont jolis et mettent de la couleur dans le paysage en ce moment où tous les arbres sont dépourvus de feuilles.

La pluie n’a pas tardé à se montrer après leur passage.

Chat crobate.

Un de nos petits chats SDF est fan de l’accrobranche, elle se débrouille plutôt bien et peut même descendre un tronc d’arbre en marche arrière comme un élagueur professionnel.

Elle a plus de dix ans ce qui pourrait être l’équivalent d’une soixantaine d’années pour un humain, je ne suis pas certain que lorsque j’aurais son age j’en fasse encore autant.

Je crois qu’elle a déjà eu les honneurs d’avoir un billet sur ce blog.

Concours photo de l’onf 2021.

Cette année j’ai fait acte de candidature pour le concours photo de l’ONF, j’avais sélectionner ce cliché qui me paraissait original.

une paire de jambes

Cela ne vous surprendra pas mais je n’ai pas été sélectionné parmi les dix clichés les mieux notés (371 participants il me semble).

Pour comprendre un peu plus cette photo, il faut la voir de l’autre coté.

souvenir de guerre ?

Chaque fois que je passe devant cette arbre le long du sentier je me pose toujours la question: mais que lui est-il arrivé ?

Au moins une fois par an je vais voir comment il se porte, cette année les bucherons l’ont encore épargné et ne l’ont pas bousculé avec leurs engins.