Le saxo pas cher…

Vous le savez j’aime fabriquer des instruments en matériaux de récupération, aujourd’hui c’est un vieux tuyau d’aspirateur qui date du siècle dernier, une vieille cuillère qui se tord lorsqu’on se sert du miel et un ballon de baudruche.

Pour compléter il faudra faire quelques trous et utiliser du ruban adhésif, mais cela n’en fait pas un grand cahier des charges, pour les plus critiques avec un prix de revient de moins d’un euro on ne peut tenir la comparaison avec un saxophone qui coûte entre 500 et 5000 euros.

Voila donc la bête en image.

Dans tout son long.

Le bec avec sa cuillère et son ballon de baudruche.

En contre jour, on perçoit à peine les trous.

C’est donc la dedans qu’il faut souffler, après quelques ajustements on arrive à produire un son qui ressemble à celui du saxo … de loin.

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Mais qu’est-ce qu’il bricole encore?

Voila en image le projet un peu fou d’Anatole, si vous suivez le blog vous devriez avoir une petite idée.

C’est en papier mâché sur un moule en carton fait maison, pour le moment cela ne ressemble à rien mais si j’arrive au bout cela devrait être plus parlant.

Comme toutes les bricoles en papier mâché, c’est la phase de séchage qui est la plus longue.

Pour vous donnez un petit indice, c’était souvent en tôle.

Pas de bricolage…

La pluie a fait son apparition dans le paysage berrichon, j’ai bien réussi à passer la tondeuse en début de semaine mais sinon les activités dans le jardin sont limitées sauf avec le ramassage des dernières courgettes et patates douces.

Le bricolage dans le sous-sol est en pause, j’ai bien quelques idées en attentes mais pas eu l’occasion de les démarrer.

Alors durant ces dernières journées pluvieuses je me suis lancé dans le décollage des timbres, depuis des années que nous les mettons de coté tout cela s’entasse dans un coin.

J’en ai donné sur « Donnons.org » un tas qui était en double, je pensais que c’était ringard les collections de timbres mais apparemment il y a encore des gens intéressés, si on peut faire plaisir sans se ruiner je trouve l’idée plutôt bonne.

Au fil de mes expériences de décollage, j’ai remarqué qu’une température aux environs de 80°C était bien adaptée, mais il faut faire comme moi, utiliser une pince pour sortir les timbres délicatement sans se brûler.

Ma technique c’est qu’une fois décollés je les mets à sécher sur une feuille de papier genre essuie-tout.

Ensuite le lendemain ils rejoignent une boite où ils patienteront encore quelques mois, années pour rejoindre un classeur après avoir fait le tri, qui trônera dans un coin de la bibliothèque.

Comment être certain que la lumière du frigo est bien éteinte quand la porte est fermée ?


Pas vraiment d’idée pour bloguer actuellement, pas de photographie à faire à cause du mauvais temps alors voila une petite idée pour savoir enfin la vérité sur la lumière du frigo.


S’il est bien une question qui aura torturé l’esprit de plusieurs générations de consommateurs, c’est celle de la lumière du frigo…pendant des dizaines d’années nous n’avions aucune preuve de cette éventuelle vérité qu’il nous fallait croire sur parole… que d’angoisses pour l’avaricieux comme pour l’écologiste ! Heureusement, les progrès de la technologie vont enfin nous permettre de savoir la vérité !


Étapes de réalisation trouvé sur le net.
Fournitures:
Un appareil photo numérique disposant d’un mode film.
Allumez votre appareil photo et ouvrez votre frigo. Mettez en route l’enregistrement et faites un plan d’ensemble de son contenu pour prouver qu’il s’agit bien d’un frigo.
Posez l’appareil dans le frigo. Refermez la porte du frigo. Attendez 5 secondes, pour être sûr que la lumière ait le temps de réagir.
Ouvrez la porte du frigo. Arrêtez l’enregistrement et visionnez le film. Chargez-le sur votre ordinateur.


Astuces et mises en garde.
Si la lumière du frigo ne s’éteint pas, portez plainte contre le fabricant. Insistez particulièrement sur le traumatisme subi.


Mises en garde
Si la lumière s’éteint, partagez la bonne nouvelle avec le monde entier en mettant la vidéo en ligne sur peertube ou youtube.

La scie à chantourner.

Je vous ai déjà parlé des sculptures en bois que j’ai pu faire en poirier, ici le socle est en frêne et le cheval est découpé dans une planche de contreplaqué de récupération.

Pour arriver à ce résultat je me suis servi d’une scie à chantourner manuelle, j’ai une petite idée de projet pour mon prochain hiver au sous-sol, une scie à chantourner mécanique en utilisant un compresseur de frigo, mais ce sera une autre histoire.

Après avoir dessiné le cheval sur la planche, je me suis attelé à la découpe du sujet, j’ai cassé deux lames, mais je suis plutôt heureux du résultat.

Pour le socle c’est un morceau de frêne que j’avais mis de coté lors de la livraison de bois de chauffage, quelques traits de scie pour faire une gorge qui permet de tenir le cheval sur ses pattes arrières.

Actuellement il est en train de sécher après une petite couche de vernis marin.

Cheval.
Cheval de bois.