Le défi du jour…

Vous le savez je suis toujours à la découverte que ce soit en ce qui concerne le bricolage mais aussi lorsque cela parle d’informatique ou de photographie.

En commentant le billet d’un lecteur je lui ai proposé alors qu’il partageait quelques clichés en noir et blanc d’en faire une toujours en noir et blanc mais en faisant ressortir quelques fleurs en couleur.

C’est assez facile à faire pour quelqu’un qui connaît le sujet, mais ce n’est pas le domaine que je maîtrise le mieux, mais comme vous le savez quand on lance un défi faut être capable de le réaliser soit même.

Voila donc ma création personnelle.

J’ai utilisé Gimp qui est une solution libre et qui fonctionne plutôt bien.

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En panne de bricolage…

Entre l’herbe qui pousse à la vitesse grand V, le potager qui demande de l’aide pour ne pas disparaître sous les herbes indésirables et un ordinateur capricieux je n’ai pas le temps de bricoler.

Je vais avoir quelques morceaux de bois à couper et j’ai toujours mon petit chevalet en bois qui a été plusieurs fois réparé, je pense qu’il pourra encore faire le job un bon moment mais vous le savez je suis un grand curieux et toujours partant pour une nouvelle expérience de travail manuel.

Chevalet de fabrication artisanale.

Chevalet en bois.

Comme vous pouvez le remarquer les petits morceaux de chevrons ont la vie dur quand à la fin de la journée la tronçonneuse devient lourde, ce n’est pas le plus difficile à changer.

Alors j’ai vu qu’il y avait en vente des chevalets qui permettent d’installer de grands tronc, qui se replient et ne prennent pas de place dans le garage. Les prix varient entre 140 et 230 euros ce qui me semble un peu fort, alors je pense que lorsque j’aurais les matériaux je me lancerais dans ce nouveau projet.

Si quelqu’un parmi les visiteurs connaît le système qu’il n’hésite pas à laisser un commentaire pour d’éventuelles améliorations.

Voila en image l’idée de départ.

Chevalet métallique.

Petit marteau à piquer.

Rappelez-vous il y a quelques jours j’ai recyclé deux limes rondes, et il me restait la moitié.

Sur le gant à droite.

Vous le savez je garde beaucoup de choses et je cherchais depuis quelques jours à en faire un outil, en cherchant l’autre jour mon marteau à piquer les soudure je me suis dit qu’un deuxième ne serait pas de trop, avec ce matériel c’est surtout son coté pointu que j’utilise le plus.

Je me suis mis à la recherche d’un manche parce qu’un marteau sans ce n’est pas pratique, dans le fourbi j’ai trouvé un vieux fer à souder de couvreur.

Voila les deux, celui de gauche c’est le nouveau venu.

Ce n’est pas révolutionnaire mais cela pourra me servir de dépannage.

Recyclage…

Voila ce qui reste du morceau de penture après recyclage, le reste a été transformé en une petite fourche à deux dents, l’idée est venue en voyant une fourche à rosier sur un site internet, comme je n’avais pas 130€ à dépenser je me suis dit que je pourrais tenter la fabrication avec du matériel de récupération.

Pour dire la vérité, ce bricolage n’a pas été aussi simple que prévu, je ne suis pas un pro de la soudure et les tubes m’ont toujours donné du fil à retordre.

fourche à deux dents.

arrière de la fourche.

J’ai trouvé dans mon fourbi un morceau d’acacia qui me sert de manche pour faire les essais.

Après deux casses j’ai changé la façon de fixer le tube, cela semble résister pour le moment.

Jeudi 20 avril, après une dizaine de minutes d’utilisation, c’est encore le système de fixation qui a lâché, je vais devoir chercher une autre solution pour fixer le tube.

Bricolage pour décompresser.

La situation dans le pays est explosive, alors pour me défouler j’avais besoin de faire un peu de bricolage, après avoir trié des clous et des vis que j’ai rangé dans de petits tiroirs en plastique je me suis lancé dans une nouvelle aventure.

Il y a quelque temps j’avais fabriqué cette petite clé pour ouvrir et fermer un robinet de compteur d’eau au fond d’une fosse, 60 cm c’était bien mais une un peu plus longue ne serait pas une mauvaise idée.

J’ai donc sortir la meuleuse, le poste à souder et j’ai attaqué mon bricolage, malheureusement vous le savez il y a des moments où tout ne fonctionne pas comme prévu.

Le morceau de tuyau en ferraille c’est révélé être moins costaud que prévu et la soudure au poste à souder cela fait des trous, j’ai bien tenté quelques aménagements mais finalement c’était pire.

Comme j’avais encore de l’énergie à dépenser, j’ai cherché dans tout mon bazar une autre façon de faire et je suis tombé sur un morceau de tube carré ainsi qu’un vieux manche à balai, ce dernier rentrant en force dans le carré j’ai donc pu préparer ma clé.

Après avoir découpé mon tube à la bonne taille, j’ai préparé les encoches qui feront les empreintes de la clé, un robinet à proximité pour test m’a permis de vérifier sa bonne adaptation.

Ensuite j’ai donc installé le manche de balai dans le tube carré et voilà une nouvelle clé un peu plus longue. Pour cette exercice, j’ai eu besoin d’une scie à métaux, d’une lime queue de rat et d’une disqueuse avec un disque abrasif.

Les sœurs.

L’embout qui fait office de clé.

En trente année, je suis allé fermer le robinet deux ou trois fois, alors elles ne seront pas usées quand l’heure de la retraite aura sonné 🙂

La dernière chance…

J’ai récupéré un fût de 500 litres récupérateur d’eau, des malheureux ont arraché le robinet en cuivre qui était installé.

Ce n’est pas sans me rappeler une chanson et surtout le passage:

Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes !

Pour l’occasion, ils sont venus jusque dans le jardin
arracher le robinet….

Ce fût était donc dans l’état en partance pour la déchetterie, alors j’ai proposé à ma voisine de tenter de lui redonner une dernière chance, au pire un coup de disqueuse et direction le coffre de la voiture pour le recyclage.

Vous le savez je suis partisan (c’est drôle me revient encore une chanson) de donner une seconde chance aux objets du quotidien, alors j’ai tenté avec les moyens du bord.

De la colle chaude, de la toile de verre résultant de l’installation d’une moustiquaire et une perceuse avec un foret métal.

Pour stopper les fissures, j’ai percé plusieurs trous à chaque bouts, c’est un truc que j’ai vu sur le Web.

L’ancien emplacement du robinet est comblé avec un morceau de toile de verre de chaque côté, si ma réparation tient le coup il sera toujours temps de percer à un autre endroit pour y mettre un robinet en plastique.

C’est pas bien joli mais récupérer 500 litres d’eau c’est toujours une bonne idée pour arroser son potager à moindre coût.

Fissure.

Maintenant, reste plus qu’à savoir s’il va tenir le choc une fois qu’il sera rempli d’eau.

Edit du jeudi 16 mars: après une bonne nuit de sommeil, j’ai procédé à un petit rafraîchissement de mon bricolage, petit coup de ponçage pour lui redonner une apparence présentable.

Voila donc quelques images supplémentaires pour vous donner des nouvelles du projet.

C’est l’endroit qui présentait le plus de risque de fuite.

Ici c’est en partie haute.

J’ai donc mis en eau, environ 80 litres pour être au dessus de réparation du bas, pour le moment rien ne fuit, c’est une bonne nouvelle mais rien n’est gagné.

Je vais surveiller durant quelques jours pour voir l’évolution, pour le moment la réparation est sous l’eau.

Bricolage de la semaine…

Samedi j’ai attaqué la révision de la tondeuse, j’avais un boulon récalcitrant qui ne voulait pas se laisser faire et qui m’empêchait de démonter la lame pour un affûtage, j’ai utilisé une grosse clé à griffes de plombier pour en venir à bout.

Mais cette semaine c’est un autre projet de bricolage qui m’a traversé la tête, un panier de récolte pour le potager, c’est un premier essai.

Toujours en utilisant du matériel de récupération, les lattes du sommier pour faire le fond, des planches de palette pour les côtés ainsi que la poignée et 4 morceaux de tasseau pour les pieds.

Voila l’engin en image, il a fallu deux heures pour réaliser cette caisse de récolte.

Pour le ramassage des haricots verts faudra que je pense à mettre un journal au fond.

Troisième recyclage…

Cette chaise de bureau est arrivée à son troisième recyclage, la première fois elle a été sortie du bac en partance pour la déchetterie, quatre vis lui ont donné une nouvelle vie, ensuite je l’ai récupérée alors qu’elle a eu les honneurs de passer sur ce blog pour son deuxième recyclage.

Au fil des ans sa housse à souffert de voir mon postérieur se poser dessus, il était temps de lui rendre une dernière chance d’habiter avec nous, comme le Président nous l’a dit il y a quelques mois « c’est finit l’abondance » alors comme je n’ai pas la chance de bénéficier d’une retraite des actionnaires du Cac 40, je fais avec les moyens du bord.

La première chose à faire c’est essayer de démonter tout ce qui pourrait nous gêner pour refaire la housse de la chaise, sans notice faut faire travailler sa matière grise pour éviter de casser quelque chose qui ne serait pas réparable.

Voila donc l’engin en question.

Voila deux beaux trous qu’il nous faut cacher.

Après démontage, nous voila avec deux morceaux, on remarque que le tissu est fixé avec des agrafes, cela tombe bien car mon idée c’était de faire la même chose avec la nouvelle housse.

Un morceau sera emprunté dans une serviette en coton, un cadeau d’une boite de vente par correspondance et qui n’était pas utilisée.

Après avoir agrafé le morceau en tension , je suis arrivé à ce résultat, ensuite j’ai remis la coque du dessous et j’ai procédé au remontage.

Le bleu est un peu plus clair que celui d’origine mais c’est reparti pour quelques années et c’est quand même plus joli qu’avant le bricolage.

Pour ceux qui serait intéressé pour savoir combien de temps cela m’a pris, il m’a fallu environ deux heures pour arriver à ce résultat, démontage, coupe du tissu, remontage et la séance photo.

Le saxo pas cher…

Vous le savez j’aime fabriquer des instruments en matériaux de récupération, aujourd’hui c’est un vieux tuyau d’aspirateur qui date du siècle dernier, une vieille cuillère qui se tord lorsqu’on se sert du miel et un ballon de baudruche.

Pour compléter il faudra faire quelques trous et utiliser du ruban adhésif, mais cela n’en fait pas un grand cahier des charges, pour les plus critiques avec un prix de revient de moins d’un euro on ne peut tenir la comparaison avec un saxophone qui coûte entre 500 et 5000 euros.

Voila donc la bête en image.

Dans tout son long.

Le bec avec sa cuillère et son ballon de baudruche.

En contre jour, on perçoit à peine les trous.

C’est donc la dedans qu’il faut souffler, après quelques ajustements on arrive à produire un son qui ressemble à celui du saxo … de loin.