Oothèque.

La mante religieuse femelle dépose ses œufs sur une brindille ou une tige à l’automne, puis les protège avec une substance semblable à la mousse de polystyrène qu’elle sécrète de son corps. Cela forme un étui protecteur, ou oothèque, dans lequel sa progéniture se développera pendant l’hiver. Les caisses d’œufs de mantes sont faciles à repérer en hiver lorsque les feuilles sont tombées d’arbustes et d’arbres. Mais soyez prévenu! Si vous apportez une oothèque hivernante dans votre maison chaleureuse, vous pouvez retrouver votre maison grouillante de minuscules mantes.

Sources: mantes religieuses

Oothèque.

En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs. Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur. Émise sous une forme blanche et crémeuse, cette soie est brassée et agencée par les valves génitales et prend la forme d’une structure en lamelles. Une fois durcie et brunie par oxydation, elle protège les œufs jusqu’au printemps. Cette structure s’appelle l’oothèque.

Sources: Wikipédia.

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La mante … bronzée

La version bronzée de la mante religieuse toujours dans le jardin, apparemment les deux peuvent se mélanger pour donner naissance à une ribambelle de petits.

J’ai l’impression que cette couleur passe plus inaperçu dans la nature surtout après un été aussi sec que cette année.

Oothèque.

Une oothèque est une membrane rigide qui enveloppe la ponte de certains insectes ou arthropodes de manière plus générale, comme la blatte ou la mante religieuse. Il s’agit d’une coque formée d’un ensemble de protéines capables de se rigidifier, avec pour fonction première de protéger l’ensemble des œufs des prédateurs ou des conditions climatiques.

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Il y a peu de temps je vous avais parlé de la mante religieuse et aujourd’hui c’est sans doute la prochaine descendance que vous avez devant les yeux. Ici à l’abri du soupirail elle a la taille d’un doigt de constitution normale.

Selon les espèces, la femelle pond entre 10 et 400 œufs. Ceux-ci sont déposés dans une masse mousseuse qui est produite par des glandes spécialisées positionnées dans l’abdomen. Cette mousse durcit et devient une capsule protectrice. L’ensemble (la capsule et les œufs) est appelé une oothèque. Certaines mantes fixent l’oothèque sur une surface plane, l’enroulent autour d’une plante ou même le déposent directement sur le sol.

Sources Wikipédia.

 

La Mante Religieuse.

La mante religieuse appartient à l’ordre des mantoptères: il s’agit d’un insecte diurne de couleur verte, brune voire même beige, mesurant 6 à 8 centimètres de long (le mâle est plus petit que la femelle de 2 à 3 cm) avec la particularité d’avoir de longues pattes repliées munies de piques ou griffes, comme si elle priait, ce qui explique son nom. Ses pattes peuvent se déplier très subitement et rapidement pour saisir une proie, ce qui explique qu’on les qualifie de « ravisseuses », mais en fait elle fait surtout une chasse à l’affût. Heureusement qu’elle a cet attribut car sinon, la femelle qui porte une lourde charge d’œufs vole assez mal ce qui limite son périmètre de déplacement, malgré des ailes assez puissantes. Elle compte, en tout, six pattes et quatre ailes.

Sources: https://jardinage.lemonde.fr/

En cueillant les haricots verts j’ai découvert cette mante religieuse de belle constitution, aucune trace du mâle dans le secteur et contrairement à ce qu’on en pense, il ne finit pas toujours dans le ventre de la belle.

A voir son ventre rebondi il y a de grande chance qu’elle est trouvée un partenaire dans le secteur, l’année dernière je ne me souviens pas d’en avoir vu dans notre jardin.

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Ici vous avez la chasseresse dans un pied de bourrache, car j’ai un potager sauvage qui attire un tas d’insectes, les branches velues de la plante ne sont pas toujours agréables mais c’est le prix à payer.