Même un jour plutôt gris peut nous offrir du bonheur, il suffit de prendre son appareil photo et de parcourir la campagne, ici pas besoin de faire des kilomètres, l’avantage du monde rural, toutes les clichés ont été pris à moins de 200 mètres de la maison et il m’a fallu moins d’une demi-heure pour les faire.
nature en hiver.
Parmi cette série de photographies sauras-tu trouver celle qui n’a pas vraiment sa place mais qui peut éviter de voir brûler ta maison?
Au premier qui trouve la réponse, je me propose de lui envoyer une (au choix) de ces photos dans un format non compressé.
Comme chaque année une petite photographie du marais, vous pouvez remarquer sur un des clichés que la peupleraie a été abattue et pour le moment pas de nouvelle plantation.
peupleraie
Il y a quelques jours c’était le cyclocross annuel et il se passe dans le marais, heureusement pour les amateurs de vélo il n’y avait pas tout cette eau.
un bras de la vauvise.
C’est agréable d’écouter le clapotis de l’eau qui coule quand ce n’est pas la terre qui chante sous nos pas.
La mésange charbonnière a une alimentation qui varie selon les saisons. Au printemps et en été, elle sera principalement insectivore. Son bec court et pointu est d’ailleurs tout à fait adapté à ce style d’alimentation. Elle aimera chasser les araignées, les sauterelles, les criquets, les vers ou encore les fourmis. Il lui arrivera tout de même de se nourrir de petits fruits ou de petites graines, comme des cerises ou des graines de hêtre.
En automne et en hiver, son alimentation deviendra beaucoup plus végétarienne. Elle se nourrira principalement de baies, de sève d’arbres, de nectar ou encore de bourgeons. Il lui arrivera de temps en temps de se nourrir d’une araignée si elle a la chance de tomber dessus.
J’avais sorti mon appareil photographique pour prendre en photo notre fidèle Rouge-gorge mais le temps de sortir le matériel c’est une tribu de mésanges qui a pris possession des lieux.
Les mésanges bleues ont préférées rester dans le châtaignier à la recherche de petits insectes.
En parcourant le jardin bien aménagé de la maison de Salève, on peut remarquer dans les arbres ces drôles de cabanes.
Vu la taille de celle-ci je pense que c’est pour abriter une chouette.
Chez nous pas encore de nichoir pour de gros oiseaux mais qui sait si cet hiver je n’aurais l’envie d’en construire un sachant que de petits rapaces nocturnes visitent notre jardin la nuit.
nichoir
Les autres que nous avons pu voir sont plus classiques, pour mésanges et autres petits visiteurs du jardin.
Une table, une chaise, une étagère venue de l’autre côté de la planète ou encore du bois de chauffage : dans nos sociétés toujours plus urbaines, nous sommes confrontés à l’arbre d’abord en tant qu’objet. Déconnectés de la nature, nous avons tendance à oublier qu’il s’agit avant tout d’un être vivant : un être complexe, sensible et fragile, dont il faut prendre soin.
C’est tout le sens du métier de Karine Marsilly, arboriste, élagueuse-grimpeuse ou encore « généraliste de l’arbre ». Telle une doctoresse, entre diagnostic, traitement et remise en forme, son regard singulier examine chaque arbre dans sa globalité, de la cime de son feuillage à ses racines profondes sans oublier ses relations avec l’environnement. En appelant à considérer l’arbre comme un patient, comme un être sensible, elle nous invite à redéfinir notre rapport au vivant.
L’une des premières femmes en France à avoir exercé cette profession, elle nous fait partager dans cet ouvrage son amour des arbres et la nécessité de les protéger.
Le récit d’une vie au service des fragiles et paisibles géants qui nous entourent, accompagné de conseils pour prendre soin des pensionnaires de son jardin.
ma vie avec les arbres
Vous aimez les arbres, les femmes arboriste-grimpeuse, élagueuse alors ce petit carnet vous plaira.
Voila après avoir posé durant cinq jours le piège à empreintes, il faut se rendre à l’évidence que nous avons un fidèle visiteur de notre jardin, il y a des années où ils sont plusieurs mais c’est vrai qu’au printemps nous avons retrouvé un petit mort dans le potager (la veille nous l’avions trouvé errant dans le jardin en plein journée).
Alors voici les clichés des empreintes.
24/08/202126/08/202127/08/202128/08/2021
Vous remarquerez qu’une nuit je n’ai pas posé le piège et que pour le dernier jour du test nous avons un plus gros animal qui s’est introduit dans le tunnel, sans doute un chat.
En étudiant les traces sur le papier on peut facilement faire la différence entre les pattes de droite et de gauche ainsi que celles devant et derrière.
Une idée amusante pour l’appel de la nature avec des enfants bien plus instructive que d’avoir les yeux fixés sur un smartphone, mais cela reste un avis très personnel 🙂