En toute honnêteté, que ferais-tu ?


Ceci est un petit test, qui ne contient qu’une question, mais qui en dira long sur toi.
Fais défiler le texte lentement, afin de lire au fur et à mesure.
Il est important pour le test de ne pas aller trop vite, afin de ne pas répondre trop précipitamment ou sans avoir bien compris tous les enjeux de la question.


La Seine a débordé…
tu te retrouves dans le chaos le plus total, après un raz-de-marée, tout est inondé…
Des quantités d’eau incroyables sont en mouvement.
Tu es reporter photographe au milieu de ce terrible désastre…
Et tu as là l’occasion de faire la photo de ta vie…
Les maisons sont emportées par les eaux autour de toi, les gens disparaissent sous les flots.
Les forces de la Nature déchaînées s’attaquent à tout…
Elles emportent tout avec elles…
Soudain, tu aperçois un homme dans un 4 x 4…
Il est prisonnier de son véhicule et lutte contre les vagues.
Il se débat, s’acharne sur sa portière, hurle…
En vain…
Tu te rapproches..
Son visage trahit l’effroi, ses yeux te supplient…
Et là, stupéfait…
Tu le reconnais : c’est Nicolas !
A chaque seconde, le torrent de boue et de débris peut l’emporter…
Mais tu peux le sauver ! Seulement, c’est aussi l’occasion de faire la photo de ta vie…
La photo qui te donnerait le Prix Pulitzer…
Et qui te rendrait riche et célèbre comme jamais !…
Maintenant, réponds à la question, en étant vraiment honnête :

.

.

.

La photo : Mat ou Brillant ?

Publicité

La porcelle enracinée.

La Porcelle enracinée est très commune et omniprésente dans les pelouses des parcs
et des jardins, même un peu piétinés, les talus des routes et des bords des chemins.
Elle ressemble à diverses autres astéracées à fleurs du type « pissenlit »: elle se
distingue par l’absence de feuilles sur les tiges, ses feuilles très rudes au toucher,
ses tiges lisses et bleutées et la présence entre les fleurs du capitule, de paillettes
fines.
La Porcelle enracinée présente plusieurs atouts qui expliquent son succès dans les
pelouses urbaines. Sa rosette de feuilles plaquée très près du sol étouffe
littéralement l’herbe en dessous et maintient une zone de nourriture rien que pour
elle et sa puissante racine. Elle résiste très bien à la sécheresse estivale alors que le
gazon est tout roussi, elle reste verte.

Porcelle enracinée.
La Porcelle en fleurs.

La Porcelle c’est une plante que je connais bien car elle colonise une partie de ma pelouse, lorsque je passe la tondeuse elle se couche souvent et se redresse quand je suis passé.

Ici c’est dans le cadre de ma recherche sur les plantes des rues que j’ai vu qu’elle s’installait aussi sur les trottoirs de nos villages, le long d’un mur ou dans un trou dans le bitume elle s’implante.

En route…

En route pour ma petite ballade dominicale, voila un des morceaux les plus difficile de ma petite promenade, on passe 175m à 206m et c’est dans ce chemin que c’est le plus pentu.

la descente ou la montée.
la montée ou la descente.

Le but c’est d’arriver jusqu’à la rangée d’arbres en travers.

vue d’en haut.

Ici nous sommes à environ 202m soit pratiquement le point le plus haut de la commune et ce n’est pas pour rien que le château d’eau est installé sur le versant opposé.

Le retour s’effectue en traversant le bois au milieu des anémones Sylvie.

anémone Sylvie.

Sur le chemin je remarque ce pied de Camomille qui a échappé aux traitements du paysans.

Camomille.

Voila une petite balade de 5 kilomètres sans avoir à sortir la voiture et sans doute une idée de sortie botanique pour les petits curieux s’ils sont en jambes, sous forme de jeu.

Un dimanche à la campagne…

Petits souvenirs d’un dimanche à la campagne et nous sommes loin de l’esprit de Bernard Tavernier, ici pas de promenade en voiture ni en barque, nos deux jambes sont les seules moyens de transport.

Il y a quelque temps je vous avais parlé de la récolte de peupliers, vous trouverez ci dessous quelques photographies du chantier et ce n’est pas vraiment joli.

En poursuivant notre chemin, nous voila arrivés devant l’ancienne maison de Roger Martin du Gard, les rats de bibliothèque (et les plus courageux) se souviendront peut-être de la suite romanesque « Les Thibault » (8 romans).

Maison de Roger Martin du Gard.

Et puis sur le retour, quelques fleurs de jonquilles.

Jonquilles

Et puis une photographie d’un animal à quatre pattes et deux grandes oreilles.

Âne.

Voila donc l’histoire en quelques clichés d’un dimanche à la campagne ordinaire.

Levain naturel… essai n°1

Après quelques jours de nourrissage le levain semblait prêt à jouer son rôle dans la préparation d’un petit pain aux céréales.

Je suis allé faire un tour chez un meunier du département voisin il a quelques jours, et en plus des 5 kilogrammes de farine traditionnelle nous avons acheté 1 kg de farine aux céréales, la première moitié avait été un échec en utilisant de la levure de boulanger proche de la date péremption.

Ce qui m’avait donné l’idée de faire du levain à la maison, aujourd’hui c’est donc un essai au levain et je suis assez confiant, il a une bonne tête.

IMG_3014IMG_3015IMG_3016IMG_3017

Je vais donc essayer de garder mon levain en vie jusqu’à mon prochain pétrissage.

Le levain naturel…

De leur passage en Égypte, les hébreux rapportèrent la recette du pain, puis inventèrent par hasard le levain (un reste de pâte conservé d’un pétrissage antérieur et qui remplace la levure). Cet ingrédient qui fait du si bon pain, aurait été découvert à cause d’une étourderie: une galette, prête à cuire, qui aurait été oubliée et se serait mise à lever naturellement.

Vous le savez je suis assez curieux de nature et devant ma dernière expérience boulangère avortée je ne voudrais pas rester sur un échec alors je suis en train de nourrir un levain naturel à la maison.

Le levain est une matière vivante, une fermentation spontanée qui s’obtient en laissant une pâte de farine et d’eau ensemencer naturellement grâce aux ferments présents dans la farine et l’air ambiant. Ces ferments sont des micro-organismes : levures et bactéries, qui se développent et qui sont les principaux agents de la fermentation et de la production d’acidité et d’arômes.

IMG_3010IMG_3011IMG_3012

Comme vous pouvez le voir les petites bulles se forment et c’est bon signe, je vais tenter l’expérience jeudi, tous les deux jours je lui donne à manger pour lui donner de la force.

La première tentative n’est pas toujours une réussite mais qui ne tente rien, n’a rien 🙂

 

La Ronce.

Il existe de nombreuses sortes de ronces, les plus connues étant la ronce des buissons et le framboisier. Leurs caractéristiques communes sont les aiguillons, les fruits en forme de mûre, des feuille de trois à sept folioles partant toutes de l’extrémité du pétiole, des fleurs blanches ou rosées, inodores.

Selon les régions on trouve  des mûrier des haies, mûrier sauvage, mûrier de renard, aronce, ronce ou encore éronce.

IMG_8987IMG_8989IMG_8988Ici vous avez ma petite récolte de cet après midi, elles sont en train de sécher, il y des feuilles de ronce et quelques une de framboisier.

En infusion il faut environ 20 g de feuilles pour un litre d’eau, boire 3 tasses par jour et pour les gargarismes compter entre 50 et 100 g/litre (angines).

Il est possible de la consommer dès les premiers symptômes du rhume, mais aussi en prévention à l’approche de l’hiver. La ronce peut constiper, il convient donc d’en faire un usage modéré.

La ronce est indiqué en cas de diarrhée, dysenterie, refroidissement, grippe, toux, angine et amygdalite.

Vous trouverez certaines information dans « Manuel pratique de la santé par les plantes » aux Éditions Désiris.

71auw2kgxvl