Soufflet de forge…

Vous avez sans doute vu passer un petit billet sur la construction de mon soufflet japonais.

Ici c’était la version bricolage avec les moyens du bord, mais vous le savez maintenant je suis curieux par nature et j’aime bidouiller un peu l’informatique. On peut facilement combiner ces passions et approfondir ses connaissances en utilisant un ordinateur qui fonctionne avec un système d’exploitation et des logiciels libres.

Tout le monde connaît LibreOffice qui fait du bon boulot pour la plupart des usagers mais il ne faut pas oublier toutes les autres applications qui donnent de bons résultats, c’est maintenant le moment de vous parler de « Freecad ».

On peut lire sur la page d’accueil:

FreeCAD est principalement conçu pour concevoir des objets pour le monde réel. Tout ce que vous faites dans FreeCAD utilise des unités du monde réel, qu’il s’agisse de microns, de kilomètres, de pouces ou de pieds, ou même de toute combinaison d’unités. FreeCAD offre https://wiki.freecad.org/Workbenches des outils permettant de produire, d’exporter et de modifier des modèles solides de haute précision, de les exporter pour l’impression 3D ou l’usinage CNC, de créer des dessins et des vues 2D de vos modèles, d’effectuer des analyses telles que les analyses par éléments finis ou d’exporter des données de modèle telles que des quantités ou des nomenclatures.

Je dois avouer que moi qui fait des petits croquis au crayon sur une feuille de papier, il a fallu une petite période d’adaptation, mais on trouve sur le Web des tutoriels bien fait et en Français.

Je ne peux pas dire que je maîtrise la bête mais il y a du progrès, voila une petite capture d’écran de ce que pourrait être mon prochain soufflet-japonais sous Freecad.

Ce prototype est le résultat un peu modifier qu’un utilisateur de l’Est du Pays m’a fait parvenir pour que je puisse me faire la main et découvrir le logiciel.

Encore un beau partage de connaissances grâce aux logiciels Libre.

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Mission deux, possible ???

Voila je viens par ce billet, donner des nouvelles du bon vieux XP, la malheureuse bête a souffert de condensateurs de moyennes qualités et c’est ainsi que l’alimentation s’en est aller, te laissant sans espoir devant l’engin agonisant sans un souffle.

C’était sans rien savoir (du gaillard) à qui tu allais confier cette drôle de mission et déposer la malheureuse au fin fond du Berry à la limite des terres Bourguignonnes.

Aujourd’hui, jour de la Sainte Lucie et avec l’aide de tous les saints qui l’on précédés, je viens t’annoncer cette nouvelle, XP a bien voulu reprendre vie après que je lui ai installé une nouvelle alimentation reçue ce jour même en provenance de Bordeaux, une fois la bête démarré je me suis rendu compte qu’elle était un peu lente (mais avec tous les programmes installés) et je me suis permis de rajouter une petite barrette de mémoire ce qui a eu pour effet de doubler sa capacité (ce qui n’en fait pas un foudre de guerre).

J’ai donc procédé au remontage après un petit nettoyage et testé une nouvelle fois cette après midi son bon démarrage, voila quelques images de l’intervention, ce que tu peux voir sur la chaise de droite c’est l’alimentation défectueuse avec sa bobine de fils.

Voila l’engin est donc prêt à retrouver son maître quand tu en auras l’occasion, pour l’instant il a trouvé refuge sous le bureau et ne dérange pas.

Nous terminerons la mission en passant comme d’habitude et sans laisser de trace de notre intervention.

Ce billet s’autodétruira une fois ouvert sur votre machine.

Le Lys….. partagé.

IL y a quelques jours j’avais remarqué la présence d’un lys chez la voisine mais j’étais loin d’imaginer qu’il finirait par partager sa floraison avec nous.

La nature me surprendra toujours, si seulement l’humain pouvait en prendre de la graine.

On peut imaginer que les conditions climatiques ont participé à ce partage.

La semaine dernière c’est l’inverse qui s’est produit puisqu’un pied de mures géantes s’est invité dans son jardin en passant sous la clôture.

La petite boulangerie du bout du monde.

Et si partager une simple miche de pain transformait profondément les rapports humains ?

Quand son mariage et son entreprise familiale font naufrage, Polly Waterford quitte Plymouth et trouve refuge dans un petit port tranquille d’une île des Cornouailles. Elle s’installe seule dans un minuscule appartement situé au-dessus d’une boutique laissée à l’abandon. Pour se remonter le moral, elle se consacre à son plaisir favori : fabriquer du pain. Alors qu’il n’y a plus dans le village qu’une boulangère irascible au pain sans saveur, les arômes de levain qui s’échappent de chez elle attirent très vite la curiosité et la sympathie des habitants. Petit à petit, d’échanges de services en petits bonheurs partagés, elle ravive l’esprit d’entraide et de partage dans le village.

Au fil des rencontres farfelues (un bébé macareux blessé, un apiculteur dilettante, des marins gourmands) et au gré des événements heureux ou tragiques qui touchent la communauté, ce qui ne devait être qu’un simple  « break » devient l’entreprise de sa vie.

Polly se révèle enfin à elle-même : une femme déterminée et créative, prête à mordre dans la vie comme dans une mie de pain chaude et croustillante.

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Un bon petit roman qui, sur fond de crise économique prône des valeurs de partage et d’entraide. Un ton bienveillant et drôle, pour une histoire romantique avec quelques accents mélancoliques qui ne tombe jamais dans la mièvrerie.

Je suis toujours attentif à la page de couverture et si je ne suis pas inspiré je passe mon tour même si le roman est de bonne qualité. Avec le macareux sur l’épaule je me suis dit que quelqu’un qui aimait les animaux devait aussi aimer les humains.

On passe un bon moment sur cette petite îles des Cornouailles et partager c’est une bonne chose mais il ne faut pas que ce soit toujours dans un sens 🙂

Cueille-pomme.

Je me suis servi de mon vieux cueille-pomme pour attraper un insecte au plafond l’autre jour et je suis aperçu qu’il donnait des signes de faiblesse. Après avoir passé plus de deux ans en plein air, sous le froid, la pluie et le soleil, il était temps de lui offrir une troisième vie.

Alors vous pouvez si vous avez la bourse de l’oncle Picsou ou celui de Nadine vous rendre dans la première jardinerie et vous trouverez votre bonheur. Vous pouvez aussi faire comme moi un cueille-pomme de fabrication artisanale pour trois fois rien.

Pour ce faire, il vous faudra, une bouteille d’eau de préférence de bonne constitution, une vis, un manche de balai en bois, une paire de ciseaux, un tournevis et une perceuse.

Couper pour ne garder que le haut de la bouteille.

Enfiler le manche du balai dans le goulot de la bouteille.

Percer un trou pour fixer la bouteille sur le manche et mettre une vis.

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Pour ceux qui ne voudraient pas se servir de la perceuse, on peut fixer la bouteille avec de l’adhésif.

Bonjour tout le monde.

Bonsoir,

Comme vous le savez mon ancien espace de blog va sans aucun doute  fermer ses portes dans quelques mois, histoire d’entretenir quelques partages d’information sur le Web, je vais donc tenter de poursuivre ici mes délires, coups de gueules et autres informations.

Nous verrons bien jusqu’ où nous emmènera cette nouvelle aventure, mais pour l’instant je vais chercher mes marques.