Il s’est écrasé dans mon jardin…

Lancé en 1991 pour étudier l’atmosphère, notamment la couche d’ozone, et mis à la retraite en décembre 2005, le satellite UARS a depuis longtemps commencé à ralentir et descend inexorablement. Dans les heures qui viennent, il rencontrera les hautes couches de l’atmosphère et chutera vers le sol. Sa température montera très vite tandis qu’il commencera à se disloquer. L’essentiel de sa masse se consumera et si des yeux sont là pour regarder, ils verront sans doute un ou plusieurs bolides.

Bon, rassurez-vous le satellite chinois n’est pas tombé dans mon jardin, il me semble que c’est prévu pour le mois d’avril, mais les chinois sont avares d’informations alors on le saura quand il sera au sol.

Ici c’est mon petit aeolodyssée V3 qui s’est écrasé ce matin après quelques violentes bourrasques de vent, pas de perte humaine mais quand même une petite déception.

Aux âmes sensibles prenez garde en regardant les photographies du « crash », toutefois en France, la terminologie officielle parle d’« écrasement » dans le domaine des transports.

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Les débris ont été rapatrié en lieu sûr pour éviter les curieux 😀 et la boite noire est en court d’expertise.

 

 

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Il y a un peu plus de deux mois…

Il y a un peu plus de deux mois j’avais décidé de fabriquer mon propre satellite, après une petite mise en orbite autour de la maison réussie j’ai du procéder au remplacement des panneaux solaires la semaine passée. J’avais pour ce premier exercice utilisé du carton recouvert d’aluminium mais les aléas climatiques du mois de février ont mis à mal ma construction.

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J’ai donc reprogrammé le satellite pour qu’il passe une nouvelle fois dans mon atelier, cette fois j’ai eu la chance d’être sponsorisé par une grande marque de soda et donc cela réduit les frais de construction.

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Après un nouveau lancement, il a fallu quelques petits ajustements mais je suis heureux de vous annoncer que aeolodyssée V3 fait le boulot qu’on lui demande, c’est à dire se balancer au gré des courants d’air.

Vous remarquerez le ciel bien plus bleu qu’au mois de janvier.

 

Petite escapade sur l’Ile d’Arz.

Pour une parenthèse détente, les nombreuses plages qui jalonnent les 18 km de linéaire côtier de l’île vous offrent l’embarras du choix. Selon les vents, les marées et … votre envie, profitez des plaisirs de la baignade quelle que soit l’heure de la journée. C’est simple, quand on sait que la mer n’est jamais à plus de 400 mètres !! Nous n’avons pas poussé jusqu’à la baignade en cette fin février 2018. Et pour ponctuer votre séjour sur l’île d’Arz d’une note de curiosité, la traversée de la digue du moulin de Berno s’impose. Ce magnifique moulin à marée a été restauré par une équipe de bénévoles passionnés et rappelle aujourd’hui l’activité minotière de l’île au Moyen-Age. Histoire et beauté des lieux se conjuguent ici et font le bonheur des ildarais et des promeneurs !Alors, si l’île d’Arz est petite par sa superficie (324 hectares), les activités ne manquent pas ! Entre balades à vélo, promenades en famille, découverte de la faune et de la flore, visite du musée « Marins et capitaines » et activités nautiques, vous ne verrez pas le temps passé ! L’île d’Arz est une invitation à la plénitude et à la sérénité, pour des vacances inoubliables en Morbihan !

Sources: ICI.

Après une petite traversée d’un petit quart d’heure en bateau nous voila débarqués sur l’Ile d’Arz, petite découverte par la cote ouest. Nous avons eu la chance de voir des centaines de Bernaches qui étaient sur le point de repartir en Sibérie, de découvrir le moulin à marée qui fonctionnait sans électricité et sans énergie nucléaire. J’ai quand même remarqué que la petite ile est équipée des fameux compteurs Linky.

 

Une belle balade sous le soleil breton, même si il ne faisait pas chaud à cause du vent.