La gazette du village…

Il y a quelques jours un automobiliste a mangé un des poteaux qui bordent la Nationale, le rétroviseur et quelques morceaux de plastique traînent encore sur le bord de la route.

Aujourd’hui petite escapade dans le village histoire de s’aérer la tête même si le temps n’est pas terrible et pratiquement en face d’où c’est produit ce petit incident, c’est la même chose qui s’est produit.

Va encore falloir redresser les poteaux ou les scier mais cela est une autre histoire, voici quelques photographies de la scène du crime, volontairement je ne mettrais pas les numéros de séries des pièces qui traînent car j’imagine qu’on peut facilement remonter jusqu’au propriétaire du véhicule.

J’imagine que le conducteur n’a pas laissé sa carte de visite mais il aurait quand même pu ramasser au moins ses affaires.

Et puis une bonne cinquantaine de mètres plus loin, c’est deux voitures qui sont garées sur le trottoir nous obligeant à passer sur la route Nationale.

On fait comment dans ce virage et avec une poussette ?????

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Le garage de Paris.

Quand la BD rend hommage aux voitures populaires. L’oncle Marcel tient le « Garage de Paris ». Spécialisé dans la réparation de vieilles autos, il a de l’anecdote à revendre ! Car chaque modèle a son histoire. Prenez la 404 par exemple : saviez-vous qu’elle avait été lancée par Peugeot en réponse à l’affront provoqué par la DS de Citroën ? Et en parlant de la mythique DS : connaissiez-vous l’étendue de toutes ses prouesses technologiques ? Cette nouvelle série d’histoires courtes vous propose d’en savoir plus sur ces légendaires voitures populaires  et bien d’autres. Avec tendresse et nostalgie, Le Garage de Paris évoque deux âges d’or : ceux de la bande dessinée franco-belge et de l’automobile. Deux âges d’or intimement liés, à la fois par leur période et par le fait que les grands auteurs de BD ont toujours été fascinés par les belles voitures. Des auteurs comme Franquin ou Tillieux, que Dugomier et Bruno Bazile, en dignes héritiers de l’école de Marcinelle, s’amusent ici à mettre en scène dans une délicate mise en abyme.

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Avec cette bande dessinée, c’est une petite escapade dans mon enfance, une époque où les voitures pouvaient être bricolées à la maison, pas besoin d’ordinateur pour contrôler l’allumage,  d’être ingénieur. Quand  une de ces vieilles voitures passe sur la route j’ai toujours une petite émotion et revient le souvenir de ma soirée passée dans la 4cv lorsque ma petite sœur est née (les enfants n’avaient pas le droit de rentrer dans les hôpitaux à cette époque).

 

La petite voiture Française.

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Alors la réponse à la question était la PGO.

On peut lire sur la page du constructeur:

L’Automobile exerce sur les passionnés une véritable fascination. PGO Automobiles, seul constructeur français d’automobiles de petite série, a décidé de la rendre accessible.

Au-delà de la fabuleuse aventure que constituent la création et le développement d’une marque, l’essentiel est pour nous de satisfaire l’envie de nos clients.

L’élégance et la finesse sont des valeurs qui font de nos véhicules des roadsters et des coupés exclusifs et fascinants. Alliant vintage et modernité, nos modèles sont dotés d’une mécanique contemporaine brillante, les carrosseries en matériaux composites s’exposent tout en fluidité.

C’est une enveloppe en courbes qui habille le Speedster II, La Cévennes et l’Hemera, réunissant l’assurance et la distinction d’un travail de haute couture.

En 2016, la société semble en difficulté.

Alors ne vous étonnez pas de ne pas voir plus souvent ces petits bolides sur les petites routes de France.