Avis de Décès…

C’est avec une grande tristesse que j’ai la désagréable annonce à vous faire, elle allait tout juste avoir 33 ans en cette fin d’année 2023, elle qui nous a guidé lors de nos apéros tardifs chez les voisins, toujours lumineuse durant les soirées hivernales, c’était notre phare, notre repère quand on n’y voyait guère, elle s’est éteinte sans un bruit ce mercredi soir dans la fraîcheur de novembre alors qu’elle s’apprêtait à regarder partir les derniers visiteurs.

Vie et mort d’une ampoule

Thomas Edison, le serial inventeur du XIXe siècle, le créateur du gramophone et du kinétographe, de la chaise électrique et du téléscripteur à haute vitesse. Et de l’ampoule à incandescence. Enfin, pas vraiment. Car si l’Américain a bien eu l’idée de recouvrir une fibre de coton de carbone, c’est à l’Anglais James Bowman Lindsay que revient cette découverte qu’il ne jugea pas judicieux de faire breveter. Brevet que s’empressa de déposer Edison et dont il lança la production industrielle à partir de 1879. Problème: l’utilisation du carbone, et dès 1904 du tungstène, rend l’ampoule à incandescence quasi increvable. Au point qu’en 1924 le cartel Phoebus qui regroupe les principaux fabricants de l’époque (Philips, Osram et General Electric) décide d’en réduire la durée de vie de 2500 heures à 1000 heures, créant ainsi la première campagne organisée d’obsolescence programmée.

Source: https://www.letemps.ch/societe/lincroyable-destin-dune-ampoule-jugee-resistante

Vous l’aurez compris, ce mercredi soir notre fidèle ampoule et sans doute une des premières que j’ai eu la joie d’installer il y a pratiquement 33 ans lorsque nous avons emménager ici, nous a lâché.

33 ans de bons et loyaux services.

La gazette d’Anatole…

Vous le savez maintenant je suis un grand partageur, sur cette espace de blog j’ai partagé quelques aventures qui ont pigmenté ma vie active et maintenant je n’ai plus de compte à rendre à mon chef il arrive parfois qu’un élément vienne perturber mon quotidien.

Quand j’étais en activité, mon patron dans sa grande bonté nous offrait des chaussures, comme il était possible de choisir son modèle j’ai souvent pris des chaussures de marche.

Vous pouvez remarquer qu’elles sont pratiquement neuves.

Vendredi 3, alors que je me décidais à aller chercher le pain, me vient dans l’idée de tester une paire de chaussures de marche offerte par l’entreprise il y a quelques années, presque jamais utilisée j’enfile donc le cadeau et d’un air serein je pars vers ma boulangerie préférée, à peine ai-je fait quelque cinquante mètres que le chemin me semble bien plus caillouteux qu’habituellement, effectivement la semelle qui n’avait sans doute pas été testée dans les laboratoires de chez Michelin se réduit en morceaux et même en poudre, alors demi-tour pour s’équiper d’un modèle plus confortable parce que descendre en ville sur les restes de semelles ne me tente guère.

Vous pensez bien qu’une aventure comme celle-là méritait bien un petit billet de blog.

Anaïs…

Alors que j’allais d’un bon pas rejoindre les bras de Morphée, c’est Anaïs que je découvre en train de faire des exercices dans mon lit, la belle il faut l’avouer avec ses longues jambes enveloppées d’un fuseau noir en soie, dispose d’un extraordinaire jeu de jambes.

Pour le moment je suis dans la phase d’approche et pour ne pas dévoiler trop vite mon intention je prends le temps de bien l’observer, c’est un peu craintive qu’elle me voit arriver ce soir et courre se réfugier pour mieux m’épier (encore raté).

Quelques minutes plus tard c’est au pied du lit qu’elle se met à faire ses étirements, alors j’ai foncé avec ma petite boite à capture, fabriqué spécialement pour ce genre de mission et d’un geste précis et surtout rapide j’ai attrapé la belle intrus.

Anaïs.

Vous l’aurez compris, c’est une arachnide qui profitant d’une fenêtre ouverte c’est introduit dans la maison, à l’insu de notre plein gré 🙂

Je lui ai rendu sa liberté dans le jardin.

J’ai traversé la route et j’ai trouvé du boulot…

Alors oui, j’ai mis mes chaussures de marche et j’ai traversé la route, il n’a pas fallu marcher plus de 200 mètres pour trouver du travail.

Noisettes.

J’ai travaillé un bonne heure à décortiquer ce tas de noisettes, alors oui c’est bien vrai en traversant une route on peut s’occuper un moment, mais 300 grammes de noisettes cela ne va pas nourrir une famille, ni faire grossir le capital retraite.

Confiture de framboises et fruits rouges.

Juste avant la pluie qui s’est abattue sur le pays je suis allé cueillir les fruits rouges dans le jardin, les framboises sont en plus grand nombre, ensuite les groseilles, les mures et pour finir quelques cerises que les oiseaux n’ont pas trouvées.

Je me suis donc attelé à la confection de cette confiture en regardant par la fenêtre la pluie entre deux coups de cuillère. Vous l’aurez remarqué cette année ce n’est pas l’abondance et il faudra faire avec, c’est malgré tout deux pots qui viendrons prendre place dans le confiturier pour cet hiver.

Habituellement quand j’ai une plus grosse récolte je fais de la gelée ce qui me permet d’éliminer les petites graines, c’est plus de travail, plus de vaisselle et il y a quand même de la perte.

En discutant l’autre jour avec une collègue de la bibliothèque elle parlait d’une copine qui avait acheté de la confiture de chez Fauchon alors je suis allé faire un petit tour sur le site histoire de voir de quoi il retourne et j’ai pu lire la liste des ingrédients suivant dans un pot de confiture de framboises:

Ingrédients : Sucre de canne, framboises, gélifiant : pectines. Pour 100 g de produit fini : préparée avec 53 g de fruits, teneur totale en sucres : 61 g. Fruits d’origine non UE Peut contenir des traces de lait et fruits à coques.

Si vous voulez connaître le prix du pot de 250 gr je vous invite à visiter le site.

Les ingrédients chez moi: Sucre (500gr), framboises, groseilles, mures, cerises, fruits d’origine de mon jardin de France (600gr), ne contient aucune trace de lait et fruits à coques.

C’est fait je suis repassé sous Windows.

Je ne pensais jamais revenir sous Windows, mais comme dit le proverbe Français:

Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.

Ce matin, cela m’a surpris au réveil en voyant que la fenêtre (Windows) de mon voisin n’était pas ouverte, alors je me suis retroussé les manches et c’est après quelques heures de durs labeurs que j’ai pu enfin arriver à vous faire quelques captures d’écran pour vous prouver ma bonne foi.

Là où sous Linux j’ai juste à appuyer sur une touche du clavier pour faire une capture d’écran et bien sous Windows 10 , il m’a fallu chercher dans le menu l’application qui fait le boulot.

Windows 10 en action.

Capture d’écran sous Windows.

Sous Windows, si vous n’avez pas fait l’activation du système, changer le fond d’écran facilement ce n’est pas évident mais cela reste possible quand même.

Les plus attentifs auront remarqué que ce billet n’a pas été mis en ligne comme d’habitude, c’est la faute à cette journée un peu spéciale, je vous laisse regarder en bas à droite des captures.

Arc en ciel…

Vous l’avez sans doute remarquer ce n’est pas toujours facile de prendre en photo un arc en ciel souvent les pieds sont séparés.

La solution c’est d’en faire un panorama, on prend plusieurs photos en essayant de ne pas trop bouger et on demande au logiciel de faire le travail, ce fonctionne plutôt bien.

Comme vous le savez peut-être mon ordinateur fonctionne avec un système d’exploitation libre, pour l’occasion c’est Debian et la logithèque est bien garnie il suffit de tester.

Pour l’occasion c’est « Hugin » qui va faire le boulot puisque c’est un créateur de panorama, on choisi les photographies qui vont bien et on lui demande de mouliner, après quelques secondes on peut découvrir le résultat.

Image 1

Image 2

Arc en ciel.

J’entends trop souvent Linux, c’est compliqué, faut taper des lignes de commandes, c’est moche, et bien c’était du temps où Manu était encore à l’école, depuis tout a changé.

Debian, c’est la liberté.