Le lierre terrestre…

Le lierre terrestre j’en ai déjà parlé sur le blog, c’était en 2019 alors je ne vais pas me répéter, j’en ai toujours dans mon jardin et je vais tenter une nouvelle recette que j’ai trouvé sur le net.

Je l’ai arrangé à ma façon avec les ingrédients à dispositions dans mon placard pour faire des pancakes.

Ingrédients :

  • 1 tasse de farine de blé
  • 1/2 tasse de lierre terrestre frais, finement haché
  • 2 cuillères à soupe de miel
  • 1 cuillère à café de poudre à lever
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 1 tasse de lait
  • 1 œuf
  • 2 cuillères à soupe d’huile

– Dans un grand bol, mélangez la farine de blé, le lierre terrestre haché, la levure chimique et le sel.

– Dans un autre bol, battez l’œuf, puis ajoutez le lait, le miel et l’huile. Mélangez bien.

– Ajoutez les ingrédients liquides aux ingrédients secs et remuez jusqu’à obtenir une pâte homogène. Laissez reposer la pâte pendant quelques minutes.

– Faites chauffer une poêle à feu moyen et ajoutez un peu d’huile.

– Versez une petite louche de pâte dans la poêle chaude pour former chaque pancake. Cuisez jusqu’à ce que des bulles apparaissent à la surface, puis retournez et faites cuire l’autre côté.

– Servez les pancakes chauds avec un filet de miel supplémentaire et quelques feuilles de lierre terrestre pour une touche décorative ! 

Sources : https://www.nathalie-peaucelle.fr/vitalo-blog/plantes-sauvages/articles/lierre-terrestre-une-belle-aromatique-sauvage

Lierre terrestre.

Le Laiteron potager…

Si le Laiteron est «potager», c’est parce qu’il fut cultivé (ainsi que le Laiteron épineux) par l’homme dès l’antiquité, consommé en salade ou cuit comme les épinards. Plus récemment, les Laiterons furent surtout considérés comme d’excellentes plantes fourragères, de l’«herbe à lapin» (un des ses surnoms) ou un met de premier choix pour le bétail: ses feuilles sont riches en vitamine C, en glucides et en protéines. Le Laiteron serait donc un légume oublié avant que d’être de la mauvaise graine, encore un me direz-vous, qui peut rejoindre les rangs des oubliés des assiettes aux côtés des Pissenlits, de la Grande Ortie ou de la Grande Mauve…

Si les Laiterons sont aujourd’hui passés de mode au potager, le sol conserve un véritable stock de graines constitué au fil des siècles; des semences qui ne demande qu’à exploser dès que la terre est retournée par l’homme (labours ou chantiers). Il faut dire que la Sauvage affiche une efficacité industrielle, propre au clan Asteraceae, quand il s’agit de reproduction: un seul pied peut produire plusieurs dizaines de millier de graines à la belle saison (de petits akènes que le vent disperse).

Sources: https://www.sauvagesdupoitou.com/

Laiteron potager.

Les fleurs du laiteron.

On va essayer la salade de laiteron.

Contrairement aux feuilles de pissenlits qui peuvent être amères celles de laiteron que j’ai mangé crue ne le sont pas.

Un pas vers le survivalisme 🙂

Retro…

Vu lors du Jardipougues du dimanche 5 mai.

Cette boutique d’un autre age avec sa pompe à mélange comme on n’en trouve plus dans le pays.

Pompe mélangeur.
Monet Goyon.

Monet-Goyon (MG) est une marque de motos française fondée à Mâcon en Saône-et-Loire, le 2 avril 1917 par Joseph Monet, un ingénieur, et par Adrien Goyon, un riche héritier.

Celle-ci est à vendre, le casque n’est certainement pas homologué mais pour un fan de vieille mécanique il y a certainement quelques heures de bricolage à faire.

En faisant quelques recherches sur les motos françaises actuelles j’ai été surpris de découvrir il y en avait encore 7 marques, certaines fabriquées en Chine c’est vrai 🙂

Hélix pomatia…

Helix pomatia, de ses noms vernaculaires français escargot de Bourgogne, gros blanc, ou escargot de Champagne, est une espèce d’escargots de la famille des Helicidae, et du genre Helix. Il est le plus consommé en France, préparé en coquille et au beurre persillé.

Espèce protégée en France par arrêté ministériel du 24 février 1979 qui interdit son ramassage du 1er avril au 30 juin (période de reproduction) en raison d’une importante menace de disparition progressive, son ramassage et sa vente ne sont autorisés que du 1er juillet au 31 mars et seulement pour des escargots dont la coquille a au moins 3 cm de diamètre.

Quoi de plus naturel que d’aller prendre quelques photographies de nos gastéropodes préférés durant cette première semaine de mai.

Escargot de bourgogne.

Petit gris.

Escargot des jardins.

Je les soupçonne d’avoir fait quelques galipettes sous le tas de bois.

Aucun animal n’a été maltraité durant la séance photo ni ramassé pour finir dans une assiette.

Sources: Wikipédia.

La Véronique petit chêne…

La Véronique petit-chêne ou Véronica chamaedrys est une plante vivace, appartenant à la famille des Scrofulariacées. Très commune en France, elle pousse à l’état sauvage, dans des terrains boisés et le long des chemins. Stomachique, elle est reconnue pour faciliter la digestion gastrique. Sa floraison intervient au printemps et en été, d’avril à juillet.

Sources: https://doctonat.com

Véronique petit chêne.

La photo n’est pas de bonne qualité, il y avait du vent et juste mon téléphone portable pour saisir le cliché.

C’est une plante essentiellement utilisée pour réaliser des infusions, les usages populaires sont les suivants:

Digestif : apéritif, tonique de la digestion, apaisement des douleurs à l’estomac
Poumon : expectorant, traitement des crises d’asthme
Foie : dépuratif  
Reins : diurétique, anti-rhumatismal
Plaies : vulnéraire
Soulagement des migraines.

Mise en garde sur le plan médicinal, cette plante aurait des propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes, astringentes et cicatrisantes. Elle contient notamment une substance, l’aucuboside, qui faciliterait l’élimination rénale et la digestion… mais parfois un peu trop violemment, jusqu’à provoquer des diarrhées!

Nous avons bien travaillé…

Ce lundi comme prévu nous avons reçu l’aide des employés communaux et des adjoints du conseil municipal, la mise à disposition du camion pour transporter les plus gros morceaux a été la bienvenue, il a fallu faire plusieurs tours.

rayonnages
Bacs pour BD.
Cela avance doucement.
Un peu le bazar.

Retrouver tous les morceaux des meubles n’a pas été de tout repos mais nous y sommes presque arrivés.

Les meubles en vrac.

Voila déjà une bonne chose de faite, reste à remettre tout en ordre pour la prochaine ré-ouverture le 6 mai, pour l’instant nous sommes coupés du monde sans accès internet et nous espérons que les techniciens pourront nous offrir la fibre avant la fin de semaine.

La bibliothèque du village…

Nous sommes en plein déménagement, entre les cartons de livres, les meubles à démonter et un tas d’autres choses à transporter, le bricolage à la maison sera pour plus tard.

La bibliothèque je vous en avais parlé en 2018 c’est un lieu qui vit grâce aux bénévoles et c’est aussi eux qui vont se coltiner le déménagement parce que la mairie nous offre un nouveau local un peu plus grand et plus lumineux.

La semaine qui vient nous aurons du pain sur la planche car il faudra retrouver toutes les pièces des meubles pour réinstaller les livres, comme dans toutes les petites communes le budget est restreint et il nous faut jongler avec ce que nous avons sous la main.

A l’heure où vous lirez ce billet nous serons sur le pont pour le grand déménagement, peut-être même qu’on fera des photos souvenirs.

Vacances en Haute-Savoie…

Je me suis absenté quelques jours et je suis descendu en Haute-Savoie, le retour c’est déroulé sous la neige, la grêle, la pluie et quelques éclaircies de temps à autre.

Présilly.

Et puis nous avons vu de l’ail des ours mais pas les plantigrades.

Ail des ours.

Loin des écrans et des informations cela fait un bien fou.

Le Ulu en action…

Petite démonstration du Ulu en action, comme je l’ai dit sur ce blog, je n’ai pas l’intention de dépecer un phoque et de préparer la peau pour le tannage mais juste de m’en servir pour émincer les légumes.
Pas question de tailler les cheveux des gamins non plus 🙂

Alors pour cet exercice j’ai travaillé sur un oignon en fin de vie, mais découper un vieux panais ne pose pas de problème, pour couper les cheveux en quatre l’affûtage n’est pas encore au top.

L’oignon entier.

Coupé en deux.

En fines tranches.

Émincé.

C’est amusant de voir que ce rebut va finir sa vie sur un plan de cuisine alors qu’à l’origine il était prévu pour découper les planches sur lesquelles il se trouve maintenant.

C’est un petit projet qui m’a bien occupé entre le découpage, le meulage, l’affûtage, le travail du bois pour faire le manche, le collage, le travail du cuir et la couture qui a suivi, c’est un petit projet qui a demandé d’être multitâches et qui montre encore une fois que recycler c’est facile.

Un commentateur m’a parlé de fabriquer un Udu mais pour cela il faudrait que recycle la terre de mon jardin et que je fabrique un four pour le cuire, ce qui n’est pas dans la liste des prochaines idées.