Le camp de césar.

Le Camp de César est un oppidum gallo-romain situé sur la commune de Laudun-l’Ardoise dans le Gard rhodanien. Il abritait une ville antique de 18 hectares occupée dès le Ve siècle avant J-C, dominant ainsi la Basse Vallée du Rhône.

Camp César.
Dieu Gaulois Pastoral.

Pas beaucoup de clichés car notre photographe avait oublié de prendre l’appareil.

Un dimanche à la campagne…

Petits souvenirs d’un dimanche à la campagne et nous sommes loin de l’esprit de Bernard Tavernier, ici pas de promenade en voiture ni en barque, nos deux jambes sont les seules moyens de transport.

Il y a quelque temps je vous avais parlé de la récolte de peupliers, vous trouverez ci dessous quelques photographies du chantier et ce n’est pas vraiment joli.

En poursuivant notre chemin, nous voila arrivés devant l’ancienne maison de Roger Martin du Gard, les rats de bibliothèque (et les plus courageux) se souviendront peut-être de la suite romanesque « Les Thibault » (8 romans).

Maison de Roger Martin du Gard.

Et puis sur le retour, quelques fleurs de jonquilles.

Jonquilles

Et puis une photographie d’un animal à quatre pattes et deux grandes oreilles.

Âne.

Voila donc l’histoire en quelques clichés d’un dimanche à la campagne ordinaire.

Rando des Amis de Léo du Berry

rando st léger le petit

C’est une petite randonnée sans grande difficulté avec un petit dénivelé de 28 mètres.

Voila en images le paysage de Saint Léger le Petit après le départ de la mairie.

Petit promenade en sous bois et un retour sur un petit morceau de route en plein soleil, mais en descente.

A la recherche d’un cliché de forêt…

Profitant d’une petite accalmie en ce début de mois d’août 2021, je suis parti faire quelques clichés dans le bois le plus près de chez moi, en chemin j’ai trouvé un peu de soleil.

tournesol

Cette année avec le temps humide les tournesols ont profité de cette eau bienvenue.

Ils ne sont pas encore bon à récolter que les oiseaux sont déjà en train de se servir.

eau prisonnière.

Ici la pluie de la nuit est resté prisonnière de cette toile d’araignée.

chêne têtard.

Sur le chemin on peut encore trouvé quelques chênes têtards qui n’ont pas étaient taillés depuis plusieurs dizaines d’années.

Charme têtard.

Et puis, j’ai trouvé du thym qui pousse à l’état sauvage en plein centre de la France.

thym
thym sauvage.

Et puis une dernière photo, le Cynips des bédégars est un hyménoptère de la famille des Cynipidae, Il est reconnaissable à ses galles globuleuses, atteignant la taille du poing, pourvues d’appendices ramifiés, denses, d’abord vertes puis rouges et brunes, sur les rameaux des Églantiers.

Sources: ICI

bédégars de l’églantier.

Premier test… suite du projet solaire.

Voila la phase de test est arrivée, pour le moment il n’y a pas de tôle dans le caisson et c’est juste la peinture noire qui amplifie la chaleur, j’ai mis un thermomètre pour voir si l’effet escompté était présent.

Quand j’ai installé le séchoir sur la terrasse à 15h30, il faisait entre 15 et 16° C, j’ai un arbre qui fait un peu d’ombre. j’ai mis le thermomètre dans le caisson, à 16 heures il affichait 21° C, à 16h30 il est à presque 25° C.

Il est 17h, on peut lire qu’il y a 30° dans le coffre et toujours 15 à 16°C dehors.

Je ferais un nouveau test demain car le soleil devrait être plus présent.

J’ai taillé quelques petites branches de noisetier pour faire sécher une pomme.

Ce matin, installation de la porte, avec une charnière faite avec un morceau de chambre à air, un autre morceau me sert aussi pour fermer et maintenir la porte fermée. J’ai mis quatre tasseaux pour faire office de rail pour les prochaines clayettes que je fabriquerais dans les jours à venir.

J’ai installé un système astucieux  qui me permet de retirer le coffre de séchage pour le rentrer durant la nuit ou lorsque le temps semble menaçant.

Un écrou papillon serre une cale qui maintient le coffre en place, après l’avoir desserré on fait un petit quart de tour à la cale et on peut retirer la caisse.

Mardi 17 avril, premier test, j’ai mis en place le séchoir pour qu’il profite un maximum du soleil.

Départ en température vers 9h45 avec 18°C et un maximum de 37°C vers 18h.

Petite escapade sur l’Ile d’Arz.

Pour une parenthèse détente, les nombreuses plages qui jalonnent les 18 km de linéaire côtier de l’île vous offrent l’embarras du choix. Selon les vents, les marées et … votre envie, profitez des plaisirs de la baignade quelle que soit l’heure de la journée. C’est simple, quand on sait que la mer n’est jamais à plus de 400 mètres !! Nous n’avons pas poussé jusqu’à la baignade en cette fin février 2018. Et pour ponctuer votre séjour sur l’île d’Arz d’une note de curiosité, la traversée de la digue du moulin de Berno s’impose. Ce magnifique moulin à marée a été restauré par une équipe de bénévoles passionnés et rappelle aujourd’hui l’activité minotière de l’île au Moyen-Age. Histoire et beauté des lieux se conjuguent ici et font le bonheur des ildarais et des promeneurs !Alors, si l’île d’Arz est petite par sa superficie (324 hectares), les activités ne manquent pas ! Entre balades à vélo, promenades en famille, découverte de la faune et de la flore, visite du musée « Marins et capitaines » et activités nautiques, vous ne verrez pas le temps passé ! L’île d’Arz est une invitation à la plénitude et à la sérénité, pour des vacances inoubliables en Morbihan !

Sources: ICI.

Après une petite traversée d’un petit quart d’heure en bateau nous voila débarqués sur l’Ile d’Arz, petite découverte par la cote ouest. Nous avons eu la chance de voir des centaines de Bernaches qui étaient sur le point de repartir en Sibérie, de découvrir le moulin à marée qui fonctionnait sans électricité et sans énergie nucléaire. J’ai quand même remarqué que la petite ile est équipée des fameux compteurs Linky.

 

Une belle balade sous le soleil breton, même si il ne faisait pas chaud à cause du vent.