Comment cet Aurel Timescu peut-il être Consul de France ? Avec son accent roumain, sa dégaine des années trente et son passé de pianiste de bar, il n’a pourtant rien à faire au Quai d’Orsay. Il végète d’ailleurs dans des postes subalternes. Cette fois, il est en Guinée, lui qui ne supporte pas la chaleur. Il prend son mal en patience, transpire, boit du tokay et compose des opéras… Quand, tout à coup, survient la seule chose au monde qui puisse encore le passionner : un crime inexpliqué. Suspendu, ce plaisancier blanc ? À quoi ? Au mât de son voilier, d’accord. Mais avant ? Suspendu à des événements mystérieux. À une preuve d’amour qui n’arrive pas. À un rêve héroïque venu de très loin… En tout cas, il est mort. Son assassinat resterait impuni si Aurel n’avait pas trouvé là l’occasion de livrer enfin son grand combat. Contre l’injustice. Avec tout son talent d’écrivain (Rouge Brésil, prix Goncourt 2001, Le Collier rouge, Immortelle randonnée…) et son expérience de diplomate (comme ambassadeur de France au Sénégal), Jean-Christophe Rufin donne vie à Aurel et nous le présente dans une première histoire. Ne nous y trompons pas : suivre cet anti-héros au charme désuet est un plaisir de lecture mais aussi un moyen de découvrir les secrets les mieux gardés de la vie internationale.
Nous voila en Guinée et bien loin de Bourges le lieu de naissance de Jean-Christophe Rufin, il fait chaud et puis un matin on découvre un homme blanc suspendu au mât de son bateau. Dans cette histoire on découvre les secrets de la vie internationale et surtout on apprend qu’on ne peut pas faire d’omelette sans casser des œufs, elle est bien ficelée, Aurel Timescu se retrouve dans la peau de Columbo et celle de Consul de France ce qui peut nous faire sourire.
J’aime bien l’écriture de Ruffin. J’ai lu le Collier Rouge, la Salamandre et Globalia et je les ai appréciés tous les 3. Celui-ci me tente bien aussi…
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C’est le premier Rufin que j’ai entre les mains et je suis assez content, j’avais vu un petite reportage sur lui et il m’avait plu.
A pluche.
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Je suis allé écouter Ruffin parler de Jacques Coeur il y a deux ans à Henrichemont. Un brillant orateur qui doit savoir donner du corps à ses récits!
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Ok, si jamais tu veux le lire tu me le dis je le mettrais de coté, car parfois je fais du troc avec des copains de la Marne. C’est vrai que l’ayant vu il y a pas longtemps à la télé il m’avait plu dans sa façon de dire les choses.
A pluche.
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Il a l’air sympa ce livre, et le TOKAY j’adore, bises
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Tu vas rire mais j’ai l’impression que Mme DE CAUNAS aime aussi le Tokay 🙂
Oui, il est sympa.
A pluche.
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Il a l’air sympa ce livre, et le TOKAY j’adore, bises
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Tu vas rire mais j’ai l’impression que fabymarypoppins aime aussi le Tokay 🙂
Oui, il est sympa.
A pluche.
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Est-ce qu’il s’agit du Ruffin député de la Somme ?
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Non, ils ne sont pas en famille, celui de la Somme a eu quelques prises de parole sympa mais je ne pense pas qu’il n’ait le temps d’écrire des romans.
A pluche.
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