Irena, Varso-vie

L’histoire vraie d’une héroïne oubliée. Nous sommes en 1947. Bien que l’Allemagne nazie soit tombée, le cauchemar pour les Juifs d’Europe n’est pas terminé. Persécutés par les communistes, abandonnés par les Alliés, leur route vers la terre promise d’Israël a encore des allures de long calvaire… Cette réalité, la jeune Oliwka la découvre brutalement lorsqu’on lui apprend qu’elle avait été confiée, encore bébé, à une famille adoptive pendant la guerre. Que sa véritable identité avait été changée pour échapper aux nazis. En réalité, elle s’appelle Astar Berkenbaum. Elle est juive. Et comme des milliers d’enfants, elle ne doit la vie sauve qu’à une femme : Irena Sendlerowa. Série poignante et d’utilité publique, Irena nous raconte le destin hors-norme de l’une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre mondiale. Ce troisième et dernier volume nous raconte la fin de son enfer en prison, mais aussi le début d’un autre combat : celui pour le salut de ses enfants au sortir de la guerre.

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J’attendais ce troisième volet qui sortait en janvier ou février et le responsable qui nous apporte les livres s’est rappelé que nous avions les deux premiers volumes alors il a décidé de nous l’apporter, merci à lui et à ma bibliothécaire préférée.

J’ai trouvé un peu moins bien ce volume, un peu la répétition des précédents épisodes mais raconté sous forme de BD c’est un moyen d’attirer un jeune public sur les événements qui sont passés sous silence. Pas certain que ce soit ce genre de BD qui fassent gonfler les statistiques de fréquentations de la bibliothèque.

Si vous avez lu les deux premiers ce serait dommage de rater ce troisième et puis surprise, il y aura peut-être un quatrième volet.

 

6 réflexions sur “Irena, Varso-vie

  1. « s’est rappelé », plutôt… J’avais entendu parler de cette série mais pas trouvé le temps de la lire. Et puis je travaille aussi sur ma mémoire des récits familiaux de cette époque…

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  2. C’est fait 😀 merci, effectivement la mémoire familiale est une bonne source d’informations, je me demande comment vont faire les générations futures pour emmagasiner tout ce que le monde peut faire 😦
    A pluche.

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