Nous avons bien travaillé…

Ce lundi comme prévu nous avons reçu l’aide des employés communaux et des adjoints du conseil municipal, la mise à disposition du camion pour transporter les plus gros morceaux a été la bienvenue, il a fallu faire plusieurs tours.

rayonnages
Bacs pour BD.
Cela avance doucement.
Un peu le bazar.

Retrouver tous les morceaux des meubles n’a pas été de tout repos mais nous y sommes presque arrivés.

Les meubles en vrac.

Voila déjà une bonne chose de faite, reste à remettre tout en ordre pour la prochaine ré-ouverture le 6 mai, pour l’instant nous sommes coupés du monde sans accès internet et nous espérons que les techniciens pourront nous offrir la fibre avant la fin de semaine.

La bibliothèque du village…

Nous sommes en plein déménagement, entre les cartons de livres, les meubles à démonter et un tas d’autres choses à transporter, le bricolage à la maison sera pour plus tard.

La bibliothèque je vous en avais parlé en 2018 c’est un lieu qui vit grâce aux bénévoles et c’est aussi eux qui vont se coltiner le déménagement parce que la mairie nous offre un nouveau local un peu plus grand et plus lumineux.

La semaine qui vient nous aurons du pain sur la planche car il faudra retrouver toutes les pièces des meubles pour réinstaller les livres, comme dans toutes les petites communes le budget est restreint et il nous faut jongler avec ce que nous avons sous la main.

A l’heure où vous lirez ce billet nous serons sur le pont pour le grand déménagement, peut-être même qu’on fera des photos souvenirs.

Vacances en Haute-Savoie…

Je me suis absenté quelques jours et je suis descendu en Haute-Savoie, le retour c’est déroulé sous la neige, la grêle, la pluie et quelques éclaircies de temps à autre.

Présilly.

Et puis nous avons vu de l’ail des ours mais pas les plantigrades.

Ail des ours.

Loin des écrans et des informations cela fait un bien fou.

Le Ulu en action…

Petite démonstration du Ulu en action, comme je l’ai dit sur ce blog, je n’ai pas l’intention de dépecer un phoque et de préparer la peau pour le tannage mais juste de m’en servir pour émincer les légumes.
Pas question de tailler les cheveux des gamins non plus 🙂

Alors pour cet exercice j’ai travaillé sur un oignon en fin de vie, mais découper un vieux panais ne pose pas de problème, pour couper les cheveux en quatre l’affûtage n’est pas encore au top.

L’oignon entier.

Coupé en deux.

En fines tranches.

Émincé.

C’est amusant de voir que ce rebut va finir sa vie sur un plan de cuisine alors qu’à l’origine il était prévu pour découper les planches sur lesquelles il se trouve maintenant.

C’est un petit projet qui m’a bien occupé entre le découpage, le meulage, l’affûtage, le travail du bois pour faire le manche, le collage, le travail du cuir et la couture qui a suivi, c’est un petit projet qui a demandé d’être multitâches et qui montre encore une fois que recycler c’est facile.

Un commentateur m’a parlé de fabriquer un Udu mais pour cela il faudrait que recycle la terre de mon jardin et que je fabrique un four pour le cuire, ce qui n’est pas dans la liste des prochaines idées.

La housse du ulu…

C’était durant le confinement au mois d’avril 2020, j’avais fabriqué cette pince à coudre, quatre ans plus tard elle est encore mis à contribution.

Aujourd’hui j’ai donc marqué tous les emplacements des trous pour pouvoir passer ma ficelle à rôtie que j’ai préalablement passé au suif et hier j’avais procédé au collage des pièces.

J’ai utilisé deux aiguilles à broder et j’ai fait du point sellier, enfin dans les grandes lignes, il a fallu un peu plus de cinq fois la longueur de l’étui pour arriver à la fin de la couture.

Je pensais mettre un bouton pression pour bloquer l’engin mais le cuir étant assez épais pour le matériel à disposition j’ai renoncé, une fois en place dans la housse, cela ne semble pas bouger.

Contrairement à la housse de hache j’ai ajouter une pièce martyre qui protège la couture lors du passage de la lame, ce qui augmente l’épaisseur du cuir à coudre.

La housse presque terminé.

Voila encore un petit bricolage amusant, maintenant il me reste à terminer l’affûtage du Ulu et peut-être une démonstration de son utilisation en cuisine.

Ulu et avancée du projet…

Le projet avance doucement et comme je n’avais plus envie de faire du bruit avec la disqueuse, je me suis lancé dans la fabrication de la housse en cuir histoire de changer du bricolage bruyant.

J’ai encore un vieux morceau de cuir qui doit avoir un peu plus de 50 ans, j’ai déjà fait dans le passé une housse pour une hache d’abattage qu’on m’avait offert.

Après avoir fait quelques patrons en papier j’ai procédé au découpage dans le cuir.

Patrons en papier et l’ébauche de Ulu.

Les pièces en cuir après découpage.

Maintenant le plus dur reste à venir, faire les trous et la couture ce qui n’est pas le plus facile.

Le ulu est quand même bien avancé, il reste à lui faire un petit affûtage mais son manche est collé.

La lame de scie.

Le ulu fait maison.

Idée de bricolage…

Vous le savez maintenant, j’aime recycler et redonner la vie à des objets qui devraient partir en déchetterie, une vieille lame de scie circulaire qui traîne dans une boite m’a fait de l’œil.

Ma première idée c’était de la transformer en couteau à pizza mais avec une diamètre de 18 cm c’est un peu juste pour le projet auquel je pensais.

Couteau à pizza.

Et puis j’ai vu un étrange outil utilisé dans la vie de tous les jours, c’est le Ulu, qui est un couteau polyvalent utilisé uniquement par les femmes inuites. Il est utilisé pour diverses actions, enlever et nettoyer la peau des animaux, couper les cheveux d’un enfant, couper la viande, ou encore tailler les blocs de glace utilisés dans la construction des iglous.

Vous pensez bien que je ne nettoie pas la peau des animaux ni ne construis des iglous, en ce moment faudrait plutôt que je pense à construire une barque, mais fabriquer ce petit engin me plaît bien.

Le patron de la lame qui pourrait me servir pour mon projet.

Comme toujours, le projet peut changer en cours de route, les deux trous servirons à la fixation d’un manche en bois n’ayant pas de caribou sous la main.

Ulu au stade terminal.

La gazette du village…

La météo étant humide un peu partout elle tombe aussi sur notre petit village, la semaine dernière nous n’avons pas été épargné par les giboulées de mars et malheureusement c’était la semaine de livraison du bois.

Nous avons tenté de faire une petite escapade dans le marais mais il faut se rendre à l’évidence, le lieu porte bien son nom.

L’entrée du marais et les pieds dans l’eau pour la salle des fêtes.

Le marais sous l’eau.

Le lavoir avec les pieds dans l’eau.

C’est aussi l’occasion de découvrir les nids de poules sur la nationale qui traverse le village.

Sur la droite de la photo vous pouvez voir la petite borne qui a déjà eu les honneurs du blog.

Violettes dont j’ai aussi parlé sur ce blog il y a quelques mois.

J’hésite encore…

J’ai bien envie de retourner sous Windows parce que l’ordinateur sous Linux c’est la stabilité, les mises à jours même journalières se passent pratiquement sans souci, pas besoin de redémarrer plusieurs fois, je trouve mon bonheur parmi les applications libres fournies sur ma distribution.

Je n’ai pas encore trouvé un truc que je faisais sous Windows et que je ne pourrais pas faire sous Linux, c’est vrai que mon ordinateur n’est pas une console de jeux mais cela tombe bien je suis un piètre joueur.

1er Avril.

1er Avril.