Une table, une chaise, une étagère venue de l’autre côté de la planète ou encore du bois de chauffage : dans nos sociétés toujours plus urbaines, nous sommes confrontés à l’arbre d’abord en tant qu’objet.
Déconnectés de la nature, nous avons tendance à oublier qu’il s’agit avant tout d’un être vivant : un être complexe, sensible et fragile, dont il faut prendre soin.
C’est tout le sens du métier de Karine Marsilly, arboriste, élagueuse-grimpeuse ou encore « généraliste de l’arbre ». Telle une doctoresse, entre diagnostic, traitement et remise en forme, son regard singulier examine chaque arbre dans sa globalité, de la cime de son feuillage à ses racines profondes sans oublier ses relations avec l’environnement. En appelant à considérer l’arbre comme un patient, comme un être sensible, elle nous invite à redéfinir notre rapport au vivant.
L’une des premières femmes en France à avoir exercé cette profession, elle nous fait partager dans cet ouvrage son amour des arbres et la nécessité de les protéger.
Le récit d’une vie au service des fragiles et paisibles géants qui nous entourent, accompagné de conseils pour prendre soin des pensionnaires de son jardin.
Vous aimez les arbres, les femmes arboriste-grimpeuse, élagueuse alors ce petit carnet vous plaira.
Et j’aurais peut-être besoin d’une personne comme elle pour convaincre un voisin qu’un arbre est une vie…
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Il y a parfois des choix qui s’imposent pour la sécurité, cette année je vais devoir traiter un hêtre parce qu’il devient trop imposant et je ne peux pas le déplacer.
A pluche.
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Lorsqu’on est jeune et qu’on s’installe dans une nouvelle maison, on plante souvent de jeunes arbres, en se disant qu’on ne les verra jamais devenir bien gros. Erreur! C’est ce qui m’est arrivé avec un Noyer d’Amérique. J’ai planté une noix (enfin, plusieurs, et ai sélectionné ensuite) en 1986, qui a produit un jeune plant, lequel a vite grandi. Puis j’ai installé une serre, sans penser qu’un jour le noyer lui ferait de l’ombre, ce qui est arrivé assez vite.
En 2015, il faisait plus de 30 cms de diamètre et je l’ai coupé, mais j’ai eu la brillante idée de le faire scier en planches. Aujourd’hui, son magnifique bois sert d’habillage dans notre nouvelle maison.
Le hêtre grandit vite, et il lui faut de la place. C’est un très bel arbre, et je ne suis pas sûr qu’il supporte un élagage sévère…
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Oui, c’est bien vrai ce que tu dis mais parfois il faut se ranger à la raison.
Il a déjà supporté un élagage il y a quelques années alors je verrais bien.
A pluche.
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Je ne suis donc pas le seul timbré à parler aux arbres 😀
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Je préfère parler aux arbres qu’à mon banquier ou mon assureur 😉
Après je ne sais pas si l’arbre comprend notre langue.
A pluche.
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Joli article et sûrement très beau livre plein de sensibilité ! Bonne lecture si tu ne l’as pas déjà fini ! Gros bisous
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Je suis au premier tiers mais je suis en train de lire une BD en même temps 😉
A pluche.
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Et dire qu’elle exerce à coté de chez moi, j’ai eu l’occasion de voir des tailles d’arbres qu’elle a réalisé et c’est bien équilibré et ça semble plaire à l’arbre….
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J’ai vu qu’elle était Normande du coté de Caen il me semble, parfois malgré tout le mal est si profond que même un bon médecin des arbres ne pourra le sauver.
A pluche.
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elle est à côté de Saint Lô
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Les arbres ? Rien à dire… Dans le champ d’en face, ils ont coupé mes deux chênes auxquels je pensais pour ma pendaison… et ils y mettent des panneaux photovoltaïques…
Très bonne journée à toi
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Faudra changer tes plans et choisir l’électrocution 🙂
Mais avant penses quand même à tes trois enfants.
A pluche.
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Non, je n’aime pas l’électrocution…
très bon véquende à toi
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