Sortie sur mon cheval…

Mon cheval fougueux.

Vous vous rappelez peut-être de mon fidèle compagnon de route, après plusieurs semaines de repos j’ai décidé de faire un tour avec lui, comme à chaque sortie je remets un peu d’air dans les pneus et en route sur les petits chemins de la campagne Berrichonne.

J’avais dans l’idée de ramasser quelques noisettes à quelques kilomètres de la maison par une chemin tranquille et effectivement j’ai juste rencontré la voiture du facteur au retour.

Mauvaise nouvelle, le noisetier qui avait donné beaucoup de fruits l’année dernière a été taillé et donc c’est une moindre récolte que j’ai pu faire, mais histoire de ne pas revenir à moitié bredouille, je me suis arrêté sous un cormier (un que j’avais oublié lors de mes recherches) .

Cette fois je vais tenter de faire du Cormé (sans doute un article dans les semaines à venir).

Et comme ma récolte n’était pas encore satisfaisante à mon goût j’ai ramassé quelques noix, voila donc en image les fruits récoltés sur le domaine publique.

La récolte.

Les cormes et les noix.

Mais avant de pouvoir faire les photographies il a fallu que je rentre à la maison et s’est sur le chemin du retour que j’ai eu la désagréable sensation de sentir de plus en plus les cailloux de la route. Malheureusement, j’ai du me faire à cette évidence, la roue arrière était de plus en plus vide d’air et j’ai du faire le reste du chemin en poussant mon cheval, un peu comme Stevenson lorsqu’il a fait son voyage dans les Cévennes.

La roue démontée.
Après la recherche du trou, une petite rustine.

Voila mon cheval fougueux a retrouvé son moyen de déplacement et j’imagine qu’on fera encore de belles sorties tout les deux.

9 réflexions sur “Sortie sur mon cheval…

  1. C’est une année à cormes, et le mien continue à donner depuis un mois. Des chevaux comme le tien, j’en ai au moins trois, et tous restent à l’écurie, faute de cavaliers…

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    1. On ne peut pas dire qu’il soit sorti beaucoup en 2020, s’il fait trop chaud je ne sors pas la bête, s’il y a du vent elle reste à l’écurie et puis parfois c’est le cavalier qui manque de volonté 🙂
      A pluche.

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  2. Lorsque j’ai une roue crevé sur le vélo, je nettoie l’intérieur du pneu, sait-on jamais, parfois des p’tites saloperies sont coincées entre le pneu et la chambre à air.

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  3. Fais gaffe : Les écolos vont t’empêcher de pomper l’air pour la roue de ton vélo… Tu n’aurais bientôt droit qu’à pomper du CO2… Et encore… 🙂
    Très bonne journée à toi

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  4. L’âne est bien plus costaud et en plus tu peux pas faire de câlins á un velo…par contre il aurait bouffé une partie de la récolte 😀

    Un jour je montrerai la connerie des pistes cyclables françaises, tiens.

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    1. L’âne est quand même plus encombrant, réclame un peu d’attention (et un compagnon de jeu) et puis entre la nourriture, les frais de véto, le maréchal ferrant le choix du vélo est vite fait.
      A pluche.

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